Bien que très discrets sur leur vie de couple et leur vie de famille, Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze se fendent de quelques déclarations. Le comédien les fait sur scène, et son épouse en interview. La journaliste et productrice de documentaires de 43 ans s'est encore livrée sur le plateau d'En Aparté, révélant notamment être "la méchante" de son foyer et confiant ses angoisses pour ses deux enfants.
Mélissa Theuriau était l'invitée d'En Aparté ce mardi 22 mars 2022. Elle y a parlé de son émission, Au Tableau!!! - où quatre candidats à l'élection présidentielle (Valérie Pécresse, Eric Zemmour, Yannick Jadot et Fabien Roussel) répondent aux questions d'enfants - mais aussi de son parcours à la télé, commencé en 2005 dans la matinale de LCI au côté du défunt Thierry Gilardi, et donc de sa petite famille. Mélissa Theuriau a notamment confié qu'elle était "la méchante" au sein de sa maison. "Je pense qu'heureusement que notre couple fonctionne parce que sinon mes enfants voudraient toujours être chez leur père. Ce serait affreux. Je ne verrai pas mes enfants", a confié la femme de Jamel Debbouze à Nathalie Levy, animatrice d'En aparté.
Mélissa Theuriau a également (et évidemment) eu un mot pour son mari. "J'ai rencontré quelqu'un que j'admire énormément, qui continue de m'impressionner par son indépendance d'esprit et par sa liberté. Il cultive ça et j'apprends beaucoup à son contact", a confié l'ancienne présentatrice de Zone Interdite. L'acteur et créateur du Jamel Comedy Club n'en pense pas moins ; amoureux d'elle après quinze ans de mariage comme au premier rang, il a qualifié Mélissa Theuriau de "kryptonite", en référence au seul point faible de Superman. Par exemple, Jamel perd ses moyens quand il se produit sur scène et que son épouse assiste à son spectacle. "Je ne dis pas quand je viens. Ça continue de le perturber un peu", a précisé Mélissa.
Interrogée sur ses prises de position, Mélissa Theuriau a également évoqué le harcèlement scolaire, sujet qu'elle n'a pas encore abordé de manière journalistique, mais dont elle a déjà été victime plus jeune. "On appellerait ça isolement, plutôt. J'ai vécu l'isolement c'est différent. Ça forge aussi, a-t-elle expliqué. J'ai été isolée longtemps, plusieurs années. Et c'est très compliqué. Ça reste mon angoisse pour mes enfants, d'ailleurs. C'est de ne pas arriver à dire et à parler aux adultes de ce qui vous... je ne sais même plus l'expliquer... C'est de ne plus avoir envie d'exister presque."Léon et Lila (13 et 10 ans) ont la chance d'avoir des parents bienveillants.