Michel Denisot se confie : Le rire de Daphné Bürki, son 'fils' Jean-Luc Delarue...
Publié le 1 octobre 2012 à 20:23
Par Nicolas G.
Daphné Bürki et Michel Denisot sur le plateau du Grand Journal le lundi 27 août 2012 sur Canal + Daphné Bürki et Michel Denisot sur le plateau du Grand Journal le lundi 27 août 2012 sur Canal +
Technikart en kiosques le 29 septembre 2012.
L'animateur du Grand Journal de Canal+, Michel Denisot, à Paris le 6 septembre 2012.
Daphne Bürki à Deauville, le 1er septembre 2012.
Doria Tillier, la nouvelle miss météo de Canal+, et Michel Denisot à Paris le 6 septembre 2012.
Michel Denisot à Cannes, le 27 mai 2012.
Michel Denisot à Cannes, le 18 mai 2012.
Ali Baddou à Cannes, le 12 mai 2010.
Julian Bugier à Paris, le 29 août 2012.
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Très critiqué l'an dernier, Le Grand Journal de Canal+ se refait aujourd'hui une santé pour cette neuvième saison, avec une formule revue et corrigée. Présentateur phare du programme, Michel Denisot est revenu pour le magazine Technikart sur les modifications apportées à l'émission. Il évoque notamment sa collaboration avec la nouvelle coanimatrice, Daphné Bürki : "Elle a une grande spontanéité et elle travaille beaucoup", explique l'animateur de 67 ans. "Daphné rit très fort : mais ça, on n'y peut pas grande-chose", ajoute-t-il également avec humour, sans un mot sur les rumeurs d'une possible mésentente entre eux. Pointée du doigt l'année dernière, Ariane Massenet a aujourd'hui quitté l'émission pour présenter la Matinale de Canal+ : "Pour Ariane, c'était le moment de grandir, d'avoir son émission à elle. Et d'apprendre à se lever tôt", affirme-t-il.

Michel Denisot semble aujourd'hui satisfait de la nouvelle formule du Grand Journal, "prévue pour durer trois ans" et de ses recrues, à commencer par la nouvelle miss météo Doria Tillier, qui succède à une Solweig Rediger-Lizlow pas épargnée par les critiques : "Elle écrit elle-même ses textes et elle paye vraiment de sa personne : pour notre émission autour du handicap, elle s'est noyée dans une piscine, histoire de voir ce que ça fait de nager sans bras et sans jambes" s'enthousiasme-t-il.

Prochainement à la tête de l'édition française du magazine Vanity Fair (courant 2013), Michel Denisot a un autre projet en tête, bien plus surprenant : "J'aimerais bien passer le bac", confie cet autodidacte du PAF, qui a débuté à l'âge de 15 ans en tant que pigiste dans un journal local de Chateauroux. Outre cette ambition inattendue, Michel Denisot a aussi évoqué son éventuel successeur au Grand Journal, Ali Baddou, qui est actuellement son joker et qui anime aussi La nouvelle édition sur la chaîne cryptée : "Oui, Ali Baddou a le profil pour me remplacer mais, le moment venu, je ne sais pas qui il y aura d'autre sur le marché", précise-t-il, soulignant "un très gros potentiel" chez Julian Bugier, joker de David Pujadas au JT de 20h sur France 2. Son possible successeur aurait aussi pu être Jean-Luc Delarue : "Il avait effectivement une relation filiale avec moi (...) Jean-Luc était un surdoué, le meilleur de sa génération. J'ai été très triste d'apprendre son décès", confie l'animateur, qui devrait rester au Grand Journal encore quelques années.

L'intégralité de cette interview est à découvrir dans le magazine "Technikart" en kiosques le 29 septembre 2012.

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