Michel Polnareff : L'affaire du bébé le plonge dans une terrible tourmente...

Depuis des années, Michel Polnareff partage son quotidien avec les quelque 5 000 amis qu'il compte sur Facebook. Une osmose parfaite avec ses fans dont il peut être fier. Il fut l'un des pionniers de cette communication en direct avec son public, il avait découvert "cette mise en scène" de sa vie privée dès l'apparition du minitel... c'est dire. Depuis, ce système de communication (sans attachés de presse) fait fureur et on y découvre ruptures, fiançailles, stars sans maquillage, etc.

On se souvient qu'il avait reçu le soutien unanime et l'empathie de ses amis Facebook, en début de semaine, lorsqu'il révélait la terrible découverte qu'il avait faite : il n'est pas le père de son enfant, le petit Volodia, mis au monde par sa compagne Danyellah le 28 décembre 2010. Ce "PolnaBB" qu'il a tant attendu n'est finalement pas le sien... Danyellah disparaissait d'ailleurs subitement avec l'enfant peu après le résultat du test de paternité.

Cependant, la décision de Michel Polnareff d'accorder, dans la foulée, une interview vérité au magazine people Gala a beaucoup choqué ceux qui le suivent au quotidien, poussant certains à réagir de façon virulente. En effet, son choix de raconter son histoire traumatisante dans la presse people fut incomprise par bon nombre d'admirateurs, tout autant que sa décision de se couper brutalement de Volodia.

Devant cette histoire qui le dépasse, et histoire de rétablir la vérité, Michel Polnareff a posté, sur sa page Facebook, dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 février un message destiné à balayer d'un revers les graves accusations dont il fait l'objet ces derniers jours : "J'aimerais une fois pour toutes qu'on arrête de prendre un drame personnel pour une recherche de publicité ou une entreprise économique. C'est une insulte pour ma mentalité et n'oubliez jamais que l'argent ne sera JAMAIS mon moteur numéro 1. Et encore moins aux dépens d'un petit être que j'adorais et qui s'est, en tout...e innocence, retrouvé un produit d'une honteuse publicité mensongère."

Depuis, les choses se sont encore envenimées... Pour la première fois, l'Amiral est aujourd'hui victime de la Toile. Certains commentaires insultants, ou contenant des propos assimilables à de la pornographie, ont été postés par des amis déçus ou par des "Trolls" (des infiltrés qui ont réussi à se faire passer pour des amis frauduleusement, via des usurpations d'identité, etc.). Il faut dire que quand on parle de procréation, les propos peuvent facilement déraper...

Facebook a rapidement été alerté des commentaires qui avaient été postés sur la page de l'artiste et a décidé de le rappeler à l'ordre. Polnareff a été prévenu que tout nouveau dérapage pourrait entraîner la fermeture définitive de son compte et, de fait, la dissolution de son groupe d'amis.

En effet, sur Facebook, on est éditeur de sa propre page et donc responsable du contenu qui y est diffusé. C'est pourquoi Michel Polnareff pourrait aujourd'hui faire les frais du manque de sérieux de quelques-uns.

Pour parer à tout imprévu de ce type, et parce qu'il est compliqué de traquer le moindre commentaire (ils se comptent par milliers sur sa page Facebook), le chanteur a décidé de poster un message informant ses fans de la marche à suivre si son compte se retrouvait désactivé.

"Des "amis" essayent de faire fermer ce site se plaignant d' harassement, de pornographie sur ce site. J'ai reçu un avertissement de FB menaçant de le fermer si ça continuait. Au cas où ça se produirait, RV sur l-amiral@hotmail.com. Nous recherchons les auteurs de ces mensonges et prendrons les mesures nécessaires pour... qu'ils apparaissent au grand jour et reçoivent la punition méritée pour leur action diffamatoire", écrivait-il peu avant 10h du matin, ce dimanche 27 février.

Cette histoire prend décidément des proportions inquiétantes chez les fans de l'Amiral... Les voir s'affronter au moment où il a le plus besoin de leur amour et de leur soutien ne facilitera sans doute pas le travail de deuil pour Polnareff !

Joachim Ohnona