Il ne reste que peu de temps avant de découvrir le coup d'envoi de la cérémonie Miss France 2023. C'est en effet ce samedi 17 décembre 2022 qu'elle sera retransmise en direct sur TF1 de la salle de spectacle M.A.CH 36 située dans la ville de Déols, au nord de Châteauroux, en région Centre-Val de Loire. Aux commandes, les téléspectateurs retrouveront une fois de plus Jean-Pierre Foucault, accompagné pour la dernière fois de Sylvie Tellier. Et bien évidemment, les 30 reines de beauté feront le show sur scène lors de la soirée placée sous le signe du cinéma. Et les périodes chorégraphiées n'ont pas dû être un problème pour l'une d'entre elles.
Comme l'ont dévoilé nos confrères de Télé Loisirs le 13 décembre, Lara Lebretton (Miss Bourgogne) a organisé un live sur Instagram afin de répondre aux questions de son public. C'était aussi l'occasion de faire des révélations, dont une qui n'a probablement pas manqué d'étonner. On savait que l'infirmière intérimaire de 23 ans soutenait les causes médicales. Les internautes ignoraient en revanche que la charmante blonde était championne dans une discipline méconnue, à savoir le twirling pompon.
Cette discipline est à mi-chemin entre entre les pom-pom girls et les majorettes. Un sport que Lara Lebretton a souhaité mettre en avant au cours de son live. "Je fais beaucoup de danse. Ça fait quinze ans que je fais du pompon. On est une équipe de 50 filles et on représente un thème en particulier autour d'une chorégraphie. On n'est ni pom-pom girls, ni cheerleaders, on se concentre sur un thème et on présente une chorégraphie ensemble. Ça demande beaucoup de cardio, beaucoup de précision dans les mouvements parce qu'il ne faut pas qu'une seule fille se trompe, sinon c'est beaucoup de pénalités", a-t-elle confié dans un premier temps.
Après quoi, la reine de beauté a révélé que son équipe et elle ont été sacrées... championnes du monde en juillet dernier. "On a beaucoup travaillé pour arriver à notre titre de championnes du monde", a-t-elle précisé. C'est avec le groupe Givry Starlett Club, composé de 46 autres personnes âgées entre 13 et 25 ans, qu'elle a pu soulever le trophée le 30 juillet dernier, à Eindhoven, aux Pays-Bas. Elles se disputaient ce titre face aux Etats-Unis et l'ont emporté après avoir travaillé sur leur chorégraphie (sur le thème de l'esclavagisme) durant pas moins de trois ans.
Ce n'est pas la première fois que le Givry Starlett Club se fait remarquer. Les compétitrices ont obtenu la médaille de bronze en 2015, puis l'argent en Norvège en 2018.