Thomas Vergara a tenu à défendre sa compagne Nabilla Benattia lors du procès qui a fait tant de bruit le 19 mai dernier et qui a valu à la starlette d'écoper de 24 mois d'emprisonnement dont 6 mois ferme. Solidaire de sa chérie, le jeune homme a montré un comportement bien moins exemplaire ce jour-là en "snapchatant" les coulisses du procès. Un comportement qui a choqué et dont le couple s'est défendu dans 50 min Inside sur TF1.
Snapchat ? On ne pensait pas à mal
Samedi, pour la première fois depuis le verdict, le couple s'est exprimé face à une caméra. L'occasion pour eux de faire leur mea culpa. "On n'a pas snpachaté le procès, on a juste snapchaté les pauses du procès, ses entractes", a précisé Thomas Vergara ajoutant ensuite "ne pas avoir pensé à mal".
Si le couple a partagé les coulisses de l'audience, c'est afin de rendre hommage à leurs fans. Du moins c'est ce qu'explique Nabilla dans la suite de l'entretien. "Les gens qui nous ont soutenus nous demandaient comment ça se passait. Alors pour les remercier on a voulu leur faire partager ça", déclare-t-elle.
"Comprenant que ça agace", l'ex-bimbo justifie tout de même ce geste: "J'ai vu des gens qui reprochaient qu'en 2016 on snapchatait son accouchement, son procès... mais malheureusement c'est le monde contemporain qui veut ça. On est dans une nouvelle ère et Thomas et moi en faisons partie."
Le procès, on se serait cru à Cannes
Dans la suite de l'entretien, Nabilla revient sur le procès de façon générale : "On se serait cru à Cannes, il y avait un banc de photographes, dès qu'on sortait boire un verre d'eau tout le monde criait. C'était assez fort en émotion", clame-t-elle. Si elle parle de ce moment de façon légère, l'ex-star de télé-réalité prend tout de même très au sérieux la décision du juge.
Écopant de deux ans d'emprisonnement dont six mois ferme, Nabilla peut voir sa peine être aménagée. La jeune femme ayant déjà purgé six semaines de détention provisoire pourra ainsi convertir ses cinq mois restants en travaux d'intérêt général ou en jours-amende afin de ne pas retourner derrière les barreaux. À TF1, elle fait part de sa décision : "Je pense que je vais faire un peu des deux parce que ça ne me fera pas de mal non plus de travailler autrement, de fair autre chose d'apprendre autre chose." Un bon choix.