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Après trois semaines d'absence, très occupé par le tournage de son prochain film - dont aucun détail n'est connu à ce jour - Nicolas Bedos faisait son retour sur le plateau d'On n'est pas couché, ce samedi 26 octobre. Et quel retour !
Autour de la table, le maître de cérémonie Laurent Ruquier, les critiques Aymeric Caron et Natacha Polony, et des invités prestigieux tels que le philosophe Alain Finkielkraut, l'humoriste Elie Semoun, les frères Igor et Grichka Bogdanoff, ainsi que les comédiens Audrey Dana et Sami Bouajila pour leur pièce Ring, jouée au Théâtre du Petit St-Martin, à Paris.
Le monologue de Nicolas Bedos revient brièvement sur la polémique impliquant son papa Guy Bedos, assigné en justice par Nadine Morano, après qu'il l'a traitée de "conne et de salope" sur scène... "Hier soir, alors que je finissais un bon repas de famille en écoutant sagement mon père traiter ma mère de connasse et de salope, comme il le fait depuis trente ans en se cachant derrière l'humour...", s'exclame l'acteur et humoriste, avant de poursuivre sa tirade.
Puis, sa chronique rondement menée, qui nous arrache un rire toutes les 15 secondes minimum, s'emballe... Il est temps pour l'enfant prodige de se payer Aymeric Caron et Natacha Polony. Eux qui, chaque semaine, mènent la vie dure aux invités. Après un bref sujet rendant hommage aux artistes qu'ils ont malmenés durant ces derniers mois, Nicolas Bedos les convie dans le siège de l'invité pour les juger à la façon d'un tribunal...
Première à passer à la barre, Natacha Polony est rapidement présentée par le juge Bedos : "Nationalité : française. Âge : 30 ans... Âge mental : 77 ans ! Tendance politique : antipathique. Signe distinctif : un goût prononcé pour les antiquités vestimentaires, période gréco-roumaine. Profession : casse-couille." La prévenue se retrouve condamnée par la cour à "habiter avec Etienne Chamoux, jeune tarlouze d'extrême gauche, militant pour l'adoption homosexuelle d'enfants tunisiens de plus de 17 ans, grand consommateur de rap américain, de drogues dures, adepte de pratiques échangistes brûtales en milieu animal. Vous habiterez chez lui dans une cave du neuf-trois avec son mari et ses deux amants."
Vient le tour d'Aymeric Caron : "Nationalité : provincial. Âge mental : 14 ans. Sexe : petit, selon la déposition d'une jeune stagiaire de l'émission qui n'a rien vu venir mais qui grâce à Dieu n'a rien senti passer. Couleur de cheveux : trop longs. Signe distinctif : aucun, Aymeric ressemble à tous les Aymeric que je connais." Sa sanction ? "Habiter pendant huit ans avec Georgette Buzon, jeune néo-nazie, sympathisante FN, bien que peu sympathique. Georgette a sa façon toute personnelle de châtier les gauchos arabophiles et autres ennemis de la patrie, en les sodomisant elle-même à l'aide d'un gadget en acier que voilà", annonce-t-il tandis que la figurante brandit une batte en acier.
Nicolas Bedos, salué pour son passage sur le plateau par l'ensemble des invités, parvient à ajouter à l'émission, devenue quelque peu morose la saison dernière en l'absence d'intervenant fixe à vocation humoristique, un supplément d'âme.
Ce n'est pas l'illustre papa du principal intéressé qui nous contredira... Sur Twitter, Guy Bedos a écrit, après le passage de son fils sur le plateau de l'émission : "Il est encore plus con que son père ce petit merdeux." Remplacez "con" par "brillant" et vous aurez le fond de sa pensée !
Découvrez le passage de Nicolas Bedos dans On n'est pas couché, le samedi 26 octobre, dès maintenant dans notre player vidéo !
Joachim Ohnona
Autour de la table, le maître de cérémonie Laurent Ruquier, les critiques Aymeric Caron et Natacha Polony, et des invités prestigieux tels que le philosophe Alain Finkielkraut, l'humoriste Elie Semoun, les frères Igor et Grichka Bogdanoff, ainsi que les comédiens Audrey Dana et Sami Bouajila pour leur pièce Ring, jouée au Théâtre du Petit St-Martin, à Paris.
Le monologue de Nicolas Bedos revient brièvement sur la polémique impliquant son papa Guy Bedos, assigné en justice par Nadine Morano, après qu'il l'a traitée de "conne et de salope" sur scène... "Hier soir, alors que je finissais un bon repas de famille en écoutant sagement mon père traiter ma mère de connasse et de salope, comme il le fait depuis trente ans en se cachant derrière l'humour...", s'exclame l'acteur et humoriste, avant de poursuivre sa tirade.
Puis, sa chronique rondement menée, qui nous arrache un rire toutes les 15 secondes minimum, s'emballe... Il est temps pour l'enfant prodige de se payer Aymeric Caron et Natacha Polony. Eux qui, chaque semaine, mènent la vie dure aux invités. Après un bref sujet rendant hommage aux artistes qu'ils ont malmenés durant ces derniers mois, Nicolas Bedos les convie dans le siège de l'invité pour les juger à la façon d'un tribunal...
Première à passer à la barre, Natacha Polony est rapidement présentée par le juge Bedos : "Nationalité : française. Âge : 30 ans... Âge mental : 77 ans ! Tendance politique : antipathique. Signe distinctif : un goût prononcé pour les antiquités vestimentaires, période gréco-roumaine. Profession : casse-couille." La prévenue se retrouve condamnée par la cour à "habiter avec Etienne Chamoux, jeune tarlouze d'extrême gauche, militant pour l'adoption homosexuelle d'enfants tunisiens de plus de 17 ans, grand consommateur de rap américain, de drogues dures, adepte de pratiques échangistes brûtales en milieu animal. Vous habiterez chez lui dans une cave du neuf-trois avec son mari et ses deux amants."
Vient le tour d'Aymeric Caron : "Nationalité : provincial. Âge mental : 14 ans. Sexe : petit, selon la déposition d'une jeune stagiaire de l'émission qui n'a rien vu venir mais qui grâce à Dieu n'a rien senti passer. Couleur de cheveux : trop longs. Signe distinctif : aucun, Aymeric ressemble à tous les Aymeric que je connais." Sa sanction ? "Habiter pendant huit ans avec Georgette Buzon, jeune néo-nazie, sympathisante FN, bien que peu sympathique. Georgette a sa façon toute personnelle de châtier les gauchos arabophiles et autres ennemis de la patrie, en les sodomisant elle-même à l'aide d'un gadget en acier que voilà", annonce-t-il tandis que la figurante brandit une batte en acier.
Nicolas Bedos, salué pour son passage sur le plateau par l'ensemble des invités, parvient à ajouter à l'émission, devenue quelque peu morose la saison dernière en l'absence d'intervenant fixe à vocation humoristique, un supplément d'âme.
Ce n'est pas l'illustre papa du principal intéressé qui nous contredira... Sur Twitter, Guy Bedos a écrit, après le passage de son fils sur le plateau de l'émission : "Il est encore plus con que son père ce petit merdeux." Remplacez "con" par "brillant" et vous aurez le fond de sa pensée !
Découvrez le passage de Nicolas Bedos dans On n'est pas couché, le samedi 26 octobre, dès maintenant dans notre player vidéo !
Joachim Ohnona