Nikos Aliagas, en couverture du Point, en mai 1989.© Le Point
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Deux mois après la sortie de son livre Ce que j'aimerais te dire (NiL Editions), bouleversante dédicace et précieux héritage confié à sa petite Agathe, 2 ans et demi, Nikos Aliagas accorde un entretien à nos confrères de VSD en kiosques ce jeudi 22 janvier 2015. Il y révèle avoir fait la une du magazine Le Point à l'âge de 20 ans, par pur hasard, alors qu'il étudiait sur les bancs de la Sorbonne, à Paris.
"Je bosse à la bibliothèque de la Sorbonne, quand un type me demande s'il peut me photographier 'pour le journal de la fac'. Huit jours plus tard, je suis en couverture du Point ! Dans le métro, je reste planté des heures sous les affiches de cette une, mais personne ne me reconnaît", s'étonne-t-il encore aujourd'hui. La une, sortie des archives par nos confrères de VSD, dévoile un Nikos fluet, le visage presque enfantin, la chemise entrouverte, le regard dans le vide comme plongé dans ses pensées, aux côtés d'une de ses camarades.
Le destin lui donnera un nouveau coup de pouce, toujours sur ces mêmes bancs de l'université, peu de temps après : "Un type me demande si ça me dirait de jouer dans un film. Et je me retrouve à côté d'Hippolyte Girardot en train d'ouvrir une porte. C'était dans Un monde sans pitié, d'Eric Rochant. Quand le film sort, j'invite dix ou quinze copains à aller le voir. Mais j'ai été coupé au montage et on voit juste ma main !", se souvient Nikos.
Nikos Aliagas, qui cartonne en librairies, n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il publiait Allez voir chez les Grecs en 2003, avant de récidiver en 2007 avec Carnet de route d'un immigré et de faire paraître un sublime recueil de photos prises à l'aide de son smartphone, Nikos Now, quatre ans plus tard.
L'animateur star de TF1 est omniprésent sur la première chaîne et a fortiori en ce début d'année. Outre 50 Minutes Inside - désormais prolongé d'une heure avec 50 Minutes Inside, l'actu et 50 Minutes Inside, le Mag - et Avant le 20 heures c'est Canteloup, il présente tous les samedis soir la saison 4 de The Voice, qui cartonne auprès du public et plus particulièrement auprès des ménagères.
Joachim Ohnona
"Je bosse à la bibliothèque de la Sorbonne, quand un type me demande s'il peut me photographier 'pour le journal de la fac'. Huit jours plus tard, je suis en couverture du Point ! Dans le métro, je reste planté des heures sous les affiches de cette une, mais personne ne me reconnaît", s'étonne-t-il encore aujourd'hui. La une, sortie des archives par nos confrères de VSD, dévoile un Nikos fluet, le visage presque enfantin, la chemise entrouverte, le regard dans le vide comme plongé dans ses pensées, aux côtés d'une de ses camarades.
Le destin lui donnera un nouveau coup de pouce, toujours sur ces mêmes bancs de l'université, peu de temps après : "Un type me demande si ça me dirait de jouer dans un film. Et je me retrouve à côté d'Hippolyte Girardot en train d'ouvrir une porte. C'était dans Un monde sans pitié, d'Eric Rochant. Quand le film sort, j'invite dix ou quinze copains à aller le voir. Mais j'ai été coupé au montage et on voit juste ma main !", se souvient Nikos.
Nikos Aliagas, qui cartonne en librairies, n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il publiait Allez voir chez les Grecs en 2003, avant de récidiver en 2007 avec Carnet de route d'un immigré et de faire paraître un sublime recueil de photos prises à l'aide de son smartphone, Nikos Now, quatre ans plus tard.
L'animateur star de TF1 est omniprésent sur la première chaîne et a fortiori en ce début d'année. Outre 50 Minutes Inside - désormais prolongé d'une heure avec 50 Minutes Inside, l'actu et 50 Minutes Inside, le Mag - et Avant le 20 heures c'est Canteloup, il présente tous les samedis soir la saison 4 de The Voice, qui cartonne auprès du public et plus particulièrement auprès des ménagères.
Joachim Ohnona