Depuis le 4 février et jusqu'au 3 avril prochain, Nikos Aliagas est à l'honneur à Venise. Le présentateur de 53 ans présente une nouvelle exposition baptisée Regard Vénitiens, au Palazzo Vendramin Grimani. Pour l'occasion, il a fait le déplacement pour le vernissage et il n'était pas seul. Des souvenirs qu'ils a racontés à nos confrères de Gala (édition du 16 février 2023).
Après avoir accepté la proposition de Béatrice de Reynies (pour la Fondazione dell' Albero d'Oro), Nikos Aliagas a eu le bonheur de pouvoir faire visiter Venise à sa maman Harula, mais aussi à ses enfants Agathe (née le 29 novembre 2012) et Andréas (né le 5 octobre 2016), à son épouse Tina Grigoriou et à sa soeur Maria, dans le cadre de son nouveau projet. "Papa n'a jamais pu l'y emmener [sa mère, NDLR], je suis heureux de lui offrir ce moment avec ses petits enfants. Avoir ma famille autour de moi, de mon neveu de 2 ans à ma mère qui a fêté ses 75 ans, compte beaucoup", a confié le présentateur de TF1 à nos confrères dans un premier temps. Lui-même ne connaissait pas la ville et a eu le bonheur d'y flâner pour son plaisir personnel, mais aussi pour son exposition. "On ne connaît pas vraiment les Vénitiens et j'ai voulu montrer ces visages , ces artisans qui font la ville au quotidien", a-t-il précisé. Il a notamment été marqué par une comtesse de plus de 90 ans qui est la plus grande collectionneuse d'éventails au monde et vit dans un palais ou par un artisan qui fabrique des "petits crabes avec autant de passion que s'il peignait la chapelle Sixtine".
Au final, c'est pas moins d'une centaine de photos en noir et blanc qu'il a exposées. Et comme d'habitude, son épouse Tina Grigoriou, psychologue d'origine grecque qui vit à Londres, a pu voir ses oeuvres en avant-première. C'est complices qu'ils ont posé devant les photographes, le 3 février dernier, pour le vernissage. "Elle est très intuitive. Elle pointe vite les images qui la touchent. C'est quelqu'un de très cash", a avoué Nikos Aliagas. Il est ensuite revenu sur les prémices de sa passion pour la photographie : "Je faisais semblant de photographier ou filmer pendant la journée et le soir, je me repassais ce film imaginaire, alors un jour, lorsque j'avais une dizaine d'années, mon père m'a offert mon premier Instamatic Kodak. Je prenais en photo un bout de nappe, des miettes ou des mains. J'avais peur de voir les gens autour de moi disparaître. La photo m'a aidé à me réconcilier avec l'idée de passage."
De touchantes confidences à retrouver dans le magazine Gala du 16 février 2023.