La semaine a commencé bien différemment pour Pascal Praud. Lundi 27 novembre, le journaliste n'a pas pu assurer son rendez-vous sur CNews où il incarne L'Heure des Pros quotidiennement. À sa place, les téléspectateurs ont eu la surprise de retrouver sa consoeur Laurence Ferrari. En guise d'introduction, cette dernière a pris soin d'avoir une parole pour Pascal Praud. "Bonjour à tous et bonjour à toutes, bienvenue dans L'heure des pros. Aujourd'hui, l'ami Pascal Praud est souffrant, c'est donc moi qui vais tenter, tenter vainement peut-être, de le remplacer aujourd'hui, dans cette belle émission. Au nom de toutes les équipes, je lui adresse toute notre amitié car je pense qu'il nous regarde et surtout on souhaite tous qu'il se rétablisse très vite pour revenir au sein de sa famille CNews", a-t-elle déclaré.
Jusqu'à présent, Pascal Praud était quant à lui resté silencieux. Mais ce mardi 28 novembre au matin, alors qu'il n'était toujours pas de retour à l'antenne, il a adressé un message à ses fidèles sur X (anciennement Twitter), révélant alors le mal dont il souffrait. "La grippe est là ! Hélas !", a-t-il regretté, laissant entendre qu'il ne retournerait pas en plateau tout de suite. Et d'ajouter néanmoins : "Mais ses effets diminuent. Merci pour les messages de prompt rétablissement. Prenez soin de vous". Les internautes étaient alors nombreux à lui souhaiter beaucoup de courage et espérer le revoir vite sur leurs écrans.
À noter que, ce matin, Pascal Praud était cette fois-ci remplacé par Eliot Deval, lequel avait déjà assuré sa place lundi soir entre 20h et 21h, toujours sur CNews.
Ces derniers jours sont décidément compliqués pour Pascal Praud. Outre la grippe qui a frappé, le journaliste était apparu très vulnérable juste avant le week-end, le 24 novembre, en évoquant Thomas, le jeune adolescent de 16 ans tué à l'arme blanche lors d'une fête de village. Face aux images de ses obsèques, Pascal Praud avait eu du mal à retenir ses larmes. "Tous ces gens qui sont en larmes. Comme vous sans doute. Et comme nous sur ce plateau. Parce qu'il n'y a rien à dire, sinon à pleurer et prier. Quelle dignité. Quelle tristesse. Pauvres parents", avait-il déploré, profondément peiné.