Pour rien au monde Paul Belmondo n'aurait loupé cet événement. Ce vendredi 6 septembre 2024, le départ du Marathon Karting Jules Bianchi sur le circuit Paul Ricard au Castellet a été donné dans le sud de la France pour la plus grande joie des participants. A rappeler que la célèbre course qui a duré 42 heures a rassemblé près de 400 pilotes, dont des stars, afin de saluer la mémoire de Jules Bianchi, tragiquement disparu en 2015 après avoir été percuté par une dépanneuse lors du Grand Prix du Japon en octobre 2014.
Philippe Bianchi, le père du défunt et son autre fils prénommé Tom ont visiblement été touchés par l'enthousiasme suscité par la compétition. Il faut dire qu'il avait du beau monde ! Parmi la team des VIP, ont été aperçus Paul Belmondo et Victor Belmondo, le pilote monégasque Charles Leclerc, l'animateur Gérard Holtz accompagné de son fils Antoine. Tomer Sisley était aussi de la partie ! L'acteur a été convié avec son épouse Sandra Sisley et leurs enfants respectifs.
Devant les photographes ce 8 septembre 2024, le comédien s'est affiché très rayonnant aux côtés de sa progéniture : Liv Shaya (2008) et Levin (2011) fruits de ses amours passés avec Julie Madar. Parée d'une sublime combinaison, Sandra Sisley semblait aux anges, au même titre que son fils Dino âgé de 16 ans, le plus jeune pilote de la compétition, né de sa relation passée avec le producteur Valéry Zeitoun devenu le parfait mélange de ses illustres géniteurs. La course couronnée par la victoire de Charles Leclerc et celle de son équipe LEC8, s'est conclue sous une pluie battante ce dimanche dans une ambiance empreinte de bonne humeur.
Il y a une vraie fraternité ici
"Les meilleurs moments : ceux passés derrière le volant", a rapporté Tomer Sisley aux journalistes de La Provence. Même si la météo leur a joué des tours, le principal intéressé en a bien profité à tous les niveaux : "J'adore ça. Je suis plus à l'aise quand ça glisse que sur le sec". A en croire ses dires, tous les participants ont joué le jeu jusqu'au bout.
"Il y a une vraie fraternité ici. Sur 400 pilotes, beaucoup s'échangent des conseils, même entre équipes adverses. C'est plus qu'un simple compétition", a précisé Tomer Sisley, des souvenirs plein la tête. Toutefois, le rythme du marathon a été particulièrement intense. Le père de famille n'aurait dormi que sept heures en deux jours. "Ces 42 heures créent des liens. On est tous dans la même galère et ça forge une véritable fraternité", a souligné l'humoriste qui s'est juré de réitérer l'expérience : "Si je suis disponible, je serai là".