Phil Collins : Son bonheur retrouvé... menacé par le divorce son ex-femme !

Alors que tout semblait simple et idyllique, du moins en apparence, il se pourrait qu'une ombre vienne ternir le bonheur retrouvé du chanteur Phil Collins et de son ex-femme paralysée. Le couple, divorcé depuis 2008, s'est offert une seconde chance après "une longue parenthèse", mais le mari actuel de la belle Orianne Collins ne voit pas les choses du même oeil. Et pour cause !

Alors que sa future ex-épouse a retrouvé l'usage de ses jambes en même temps que ses sentiments pour son ancien amoureux, le banquier Charles Fouad Mejjati a bien l'intention d'opposer une farouche résistance à sa demande de divorce. Le quotidien suisse Le Matin, qui confirmait la semaine dernière l'inattendu retour de flamme, annonce aujourd'hui que la séparation d'Orianne et de Charles Fouad ne se fera pas sans heurts.

Principale pomme de discorde ? Leur ancienne demeure de Miami Beach, acquise par madame il y a quatre ans, moyennant la somme de 8,4 millions d'euros. Un joli pactole auquel la belle, millionnaire depuis son premier divorce, semblait avoir renoncé à l'époque où, affaiblie par son traitement médical, elle avait choisi de retourner vivre avec son premier mari et leurs deux enfants, Matthew et Nicolas (14 et 10 ans).

Toujours d'après le quotidien, la jeune femme, handicapée après une opération qui a mal tourné, aurait offert le bien au banquier marocain. Une opération validée par un huissier, dont elle assure aujourd'hui ne plus se souvenir alors qu'elle revendique une partie de la valeur de la propriété. En outre, Orianne réclame l'annulation d'un contrat de mariage, dont elle se rappelle mais qu'elle conteste, signé au printemps 2015.

La goutte d'eau qui a fait déborder le vase pour son futur ex-mari, qui pourrait ne pas hésiter à faire usage de révélations croustillantes (et humiliantes) qu'il détient à son sujet. L'homme d'affaires, installé aux Etats-Unis, menace aussi de revenir s'installer en Suisse avec leur fils Andrea, bientôt 5 ans, et de faire valoir les droits qu'il possède sur un logement qu'occupait le couple sur place avant le mariage, prononcé en 2009. Une union qui semble dater d'un autre temps !

Coline Chavaroche