Philippe Bouvard, à Paris, en janvier 2011.© Abaca
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Après un face à face épique (et rigolo !) dans l'émission Semaine Critique, présentée par Franz-Olivier Giesbert, opposant Patrick Poivre d'Arvor à Philippe Bouvard, vendredi 28 janvier, le coup d'envoi du round 2 a déjà été donné...
C'est dans les colonnes du quotidien régional Nice-Matin daté du dimanche 6 février que Philippe Bouvard assène le premier coup de cette deuxième manche... Il continue de s'en prendre à l'ex-présentateur du JT de TF1 en l'accusant de manquer d'honnêteté vis-à-vis de ses lecteurs, et du grand public, de façon plus générale.
"Il nous prenait pour des démeurés. Ses explications me paraissent tellement invraisemblables... Moi, je suis trop orgueilleux pour avoir eu des nègres. Je ne supporterais pas qu'on écrive à ma place. Cela dit, j'ai eu la chance d'être le bénéficiaire du fameux premier tirage de son livre, qu'on ne trouvera jamais dans le commerce. Avec une belle dédicace, qu'il avait écrite lui-même pour une fois. Il est doublement précieux !", taquine celui qui publie, ces jours-ci, Ma vie d'avant, ma vie d'après (Editions Flammarion).
Rappelons que Patrick Poivre d'Arvor publiait, le 19 janvier dernier, la biographie Hemingway, la vie jusqu'à l'excès (Editions Flammarion)... Avant même la sortie du livre en librairies, l'hebdomadaire L'Express a accusé PPDA d'avoir tout bonnement plagié la biographie consacrée à Hemingway, signée Peter Griffin, parue aux États-Unis en 1985, aux éditions Oxford University Press. Un ouvrage traduit en français puis publié par Gallimard en 1989.
Rapidement, on l'a soupçonné d'avoir eu recours à un "nègre", Bernard Marck (même s'il maintient qu'il ne s'agit aucunement d'un auteur rémunéré pour écrire à sa place, mais d'un simple "collaborateur") pour la confection de cette biographie.
Pour se défendre, Patrick Poivre d'Arvor a fait des pieds et des mains, clamant son innocence et déclarant même vouloir attaquer L'Express pour ces accusations. Il s'est adressé au grand public par voie de presse ou à la télévision pour nettoyer sa réputation : de RTL au Grand Journal de Canal+ en passant par Public-Sénat ou Le Monde.
Cette guerre qui oppose PPDA à Philippe Bouvard n'est donc pas finie... et ce n'est pas parce qu'ils ont signé chez le même éditeur qu'ils vont renoncer au combat !
Joachim Ohnona
C'est dans les colonnes du quotidien régional Nice-Matin daté du dimanche 6 février que Philippe Bouvard assène le premier coup de cette deuxième manche... Il continue de s'en prendre à l'ex-présentateur du JT de TF1 en l'accusant de manquer d'honnêteté vis-à-vis de ses lecteurs, et du grand public, de façon plus générale.
"Il nous prenait pour des démeurés. Ses explications me paraissent tellement invraisemblables... Moi, je suis trop orgueilleux pour avoir eu des nègres. Je ne supporterais pas qu'on écrive à ma place. Cela dit, j'ai eu la chance d'être le bénéficiaire du fameux premier tirage de son livre, qu'on ne trouvera jamais dans le commerce. Avec une belle dédicace, qu'il avait écrite lui-même pour une fois. Il est doublement précieux !", taquine celui qui publie, ces jours-ci, Ma vie d'avant, ma vie d'après (Editions Flammarion).
Rappelons que Patrick Poivre d'Arvor publiait, le 19 janvier dernier, la biographie Hemingway, la vie jusqu'à l'excès (Editions Flammarion)... Avant même la sortie du livre en librairies, l'hebdomadaire L'Express a accusé PPDA d'avoir tout bonnement plagié la biographie consacrée à Hemingway, signée Peter Griffin, parue aux États-Unis en 1985, aux éditions Oxford University Press. Un ouvrage traduit en français puis publié par Gallimard en 1989.
Rapidement, on l'a soupçonné d'avoir eu recours à un "nègre", Bernard Marck (même s'il maintient qu'il ne s'agit aucunement d'un auteur rémunéré pour écrire à sa place, mais d'un simple "collaborateur") pour la confection de cette biographie.
Pour se défendre, Patrick Poivre d'Arvor a fait des pieds et des mains, clamant son innocence et déclarant même vouloir attaquer L'Express pour ces accusations. Il s'est adressé au grand public par voie de presse ou à la télévision pour nettoyer sa réputation : de RTL au Grand Journal de Canal+ en passant par Public-Sénat ou Le Monde.
Cette guerre qui oppose PPDA à Philippe Bouvard n'est donc pas finie... et ce n'est pas parce qu'ils ont signé chez le même éditeur qu'ils vont renoncer au combat !
Joachim Ohnona