Mercredi 15 avril, de nombreuses personnalités se sont retrouvées au restaurant La Closerie des lilas à Paris pour la remise du prix éponyme. Celui-ci a été décerné à Arièle Butaux pour son livre Le Cratère (éditions Sabine Wespieser), fiction sur la petite soeur d'un enfant handicapé.
Parmi les invités nous pouvions retrouver deux couples assez rares lors des événements officiels. Il s'agit d'une part de Julian Bugier et sa femme Claire Fournier. Parents de deux enfants, Lucien (2011) et Gabrielle (2013), ils travaillent tous les deux dans le milieu du journalisme. La jeune femme qui collabore avec LCI (son mari pour France Télévisions et son JT de 13h), écrit et présente aussi un podcast sur la thématique de la ménopause intitulé Chaud dedans, produit et diffusé sur la plateforme Binge Audio.
Josiane Balasko était elle aussi accompagnée de son mari, George Aguilar. Un acteur américain d'origine amérindienne pour qui elle a eu un coup de foudre et avec qui elle s'est mariée en 2007.
Claire Chazal, en tant que présidente du jury, était bien sûr aussi présente. Elle a salué la "densité et délicatesse de l'écriture" d'Arièle Butaux, sur un "sujet intime, bouleversant, sur la famille, le handicap, l'enfance, sans aucun cratère larmoyant". L'actrice Bérénice Bejo, jurée de cette édition, a dit y voir une "sublime ode à l'amour qui lie une soeur à son frère", tandis que la romancière Claire Berest y a vu "un hurlement en sourdine", comme le rapporte l'AFP. Leïla Kaddour, Helena Noguerra, sublime en mini jupe verte pailletée, Anne Goscinny - venue avec sa fille Salomé du Chatenet - étaient elles aussi membres du jury.
D'autres invitées ont fait le déplacement pour la remise de ce prix créé en 2007 qui a "pour mission de soutenir et faire connaître une littérature féminine de qualité" : Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Carole de Chretiennot (jury fondateur), Amélie Nothomb, Anne Nivat - grand reporter et épouse de Jean-Jacques Bourdin -, Carole Chrétiennot, Stéphanie Janicot, Emmanuelle de Boysson, Nathalie Rykiel.
L'humoriste Stéphane Guillon et le producteur de cinéma Alain Terzian ont aussi applaudi Arièle Butaux.