En voilà un qui aurait mieux fait de se taire et de tourner sept fois la langue dans sa bouche avant de parler !
Pierre-Jean Chalençon, star d'Affaire conclue (France 2), avait fait le buzz le 11 juin 2019 en révélant qu'il allait participer à Danse avec les stars (TF1), information délivrée dans Touche pas à mon poste (C8). Depuis, TF1 a décidé de faire machine arrière – peut-être a-t-il révélé trop vite sa participation, alors que les chaînes préfèrent officialiser elles-mêmes l'identité des candidats. Un rapport de cause à effet ?
Pour Pierre-Jean Chalençon, si l'affaire n'est finalement plus conclue, c'est parce qu'il serait une victime collatérale de la guerre supposée entre TF1 et Cyril Hanouna. Très remonté, le sosie non officiel de Michel Polnareff a eu des propos très violents à l'encontre du directeur des programmes de TF1, Ara Aprikian. Des mots qu'il dit regretter à présent.
A Telepro, Pierre-Jean Chalençon a déclaré que le patron de la première chaîne d'Europe "doit avoir un esprit assez faiblard" et qu'il "s'imagine être président de la République ou Dieu sur Terre". Des mots certainement prononcés sous le coups de la colère. Mais il a également proféré des menaces contre Ara Aprikian : "Paris est petit, c'est tellement petit que je vais le rencontrer et quand je vais le rencontrer, il a intérêt à avoir beaucoup de gardes du corps avec lui car je vais vraiment m'occuper de son compte... Pas physiquement, parce que je ne suis pas un mec violent."
Le collectionneur, qui a fait savoir un peu plus tôt dans la journée qu'il ferait une conférence de presse en début de semaine prochaine concernant le DALSgate, est finalement revenu sur ses déclarations hostiles. Vendredi 14 juin, sur Twitter, l'homme de 48 ans a présenté ses excuses. S'il ne cite pas directement Ara Aprikian, il est aisé de faire le raccourci. "Je tiens à présenter sincèrement mes excuses aux personnes que j'ai pu blesser par la teneur de mes propos... Aigri et profondément abattu et vraiment démoralisé, au moment où j'ai répondu à cette interview, les mots prononcés ont très largement dépassé ma pensée...", a-t-il écrit.