Après le smoking pour séduire plus de 200 personnes de la gent féminine, le prince Harry avait passé survêtement et crampons pour promouvoir le rugby chez les jeunes. Plaquages, mêlées et cadrage-débordement, rien ne lui aura été épargné...
Alors que son frère, le prince William et son épouse Kate Middleton, enceinte de leur second enfant, accueillaient le président de Singapour, Harry prenait quant à lui la direction du Nord de l'Angleterre et de la banlieue de Manchester. En ce lundi 20 octobre, le soleil était au rendez-vous pour une journée sportive autour du rugby. Le petit-fils de la reine Elizabeth II avait pour mission de jouer les coachs et de tâter un peu du ballon ovale au club Eccles RFC de Salford, afin de promouvoir le rugby dans les écoles et encourager les profs à devenir entraîneur de rugby dans leurs établissements, alors qu'il est le "patron" (sorte de mécène et de parrain en VO) de l'England Rugby's All Schools Program, qui vise à encourager les jeunes enfants à pratiquer le rugby et à rejoindre les clubs locaux.
Polo de sport, bas de survêtement et crampons aux pieds, le charmant trentenaire a tout d'abord pris part à un entraînement, apprenant à entrer en mêlée au milieu de jeunes filles nullement intimidées, sous les ordres de professeurs et coachs de rugby formés par la Fédération et destinés à enseigner dans les écoles. Il a ensuite rencontré des étudiants bénévoles, avant de les aider dans l'organisation d'un festival de rugby pour les jeunes des environs.
Cette fois, le prince Harry, grand amateur de l'Ovalie et président de l'organisation du Mondial 2015 en Angleterre, avait passé son costume d'entraîneur, pour manager des équipes mixtes de jeunes enfants. Mais l'amour du jeu étant plus grand, il n'a pu résister à l'envie de tâter du ballon et s'est mué en joueur, enchaînant les passes et se faisant plaquer à plusieurs reprises, tout en encourageant ses jeunes partenaires et adversaires d'un jour.
Au terme d'une journée sportive, le prince Harry, qui verra son second petit neveu ou nièce poindre le bout de son nez en avril 2015, est allé à la rencontre des cadets et des pompiers d'une station locale, échangeant avec eux sur les gestes de premiers secours.