Elle a suscité de nombreuses questions suite à son apparition remarquée, le 30 octobre dernier, au bras de son amoureux le musicien Doyle Bramhall II. Ultramince, Renée Zellweger affichait en effet un visage pour le moins aminci, pour ne pas dire métamorphosé, déclenchant des rumeurs de chirurgie esthétique. Méconnaissable et taxée d'être anorexique, l'actrice de 44 ans montait néanmoins au créneau contre de telles allégations dans une interview au journal Daily Express. Mais voilà que quelques semaines plus tard, rebelote : force est de constater qu'aujourd'hui, Renée Zellweger n'a plus du tout le même physique que par le passé.
De sortie jeudi 26 décembre en compagnie de ses parents Emil et Kjellfrid au lendemain des fêtes de Noël, la star hollywoodienne est de nouveau apparue plus maigre que jamais, le visage marqué et résolument changé. Pour cette virée familiale, Renée Zellweger avait par ailleurs mis de côté le glamour qui fait régulièrement sa marque de fabrique pour un look plutôt débraillé. Vêtue d'un jean et de baskets de marche, l'actrice n'a pas jugé nécessaire de se mettre sur son 31 pour embarquer ses parents en virée gourmande au Kreation Kafe, connu pour sa nourriture bio et détox.
Décoiffée, visage au naturel, Renée Zellweger n'avait décidément rien de la femme séduisante que l'on voyait jusqu'à récemment sur les tapis rouges les plus prestigieux de la planète. Aujourd'hui, bien qu'elle prétende le contraire, l'actrice est tout de même l'ombre d'elle-même et semble fondre de jour en jour. Mais si elle arbore désormais une silhouette très "sèche", l'étonnante quadra n'en est pour autant pas dépourvue d'une généreuse poitrine. Bref, de quoi alimenter une nouvelle fois les rumeurs de chirurgie qui, malgré les démentis, risquent de prendre davantage d'ampleur après cette énième apparition contrastée.
Mais Renée Zellweger n'a eu visiblement que faire du scandale : auprès de ses parents, dont elle est très proche, la star de Bridget Jones était malgré tout radieuse et a semblé passer un excellent moment. Au final, c'est un peu tout ce qui importe.