En parlant du film Happiness Therapy, Robert de Niro craque, submergé par l'émotion, lors de l'émission de Katie Couric - février 2013.
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Talentueux, sérieux et peu bavard, Robert De Niro n'a jamais été du genre à se livrer devant les caméras. Marié avec Grace Hightower et père de six enfants, c'est une star discrète qui poursuit sereinement son parcours à Hollywood, nourri d'une passion sans fin pour le cinéma. Cependant, sa réaction sur le plateau de la journaliste Katie Couric est déroutante. La figure du cinéma qu'il est craque devant les caméras lors de l'émission Katie, pleurant au moment d'aborder la question de son travail sur le film Happiness Therapy, nommé pour huit Oscars, dont ceux de meilleurs acteur (Bradley Cooper) et acteur dans un second rôle (Robert De Niro).
Invité aux côtés de Bradley Cooper et du réalisateur David O. Russell pour défendre la comédie dramatique Happiness Therapy, Robert De Niro n'est pas parvenu à masquer ses émotions. Dans un premier temps, le réalisateur explique que l'histoire de cet homme bipolaire sortant fraîchement d'un hôpital psychiatrique et tentant de reconstruire sa vie fait écho à sa propre vie. Le cinéaste raconte en effet que son fils a, lui aussi, subi des désordres bipolaires, similaires à ceux du personnage principal de son film incarné par Bradley Cooper : "J'ai un fils qui a des problèmes d'humeur, ce qui veut dire qu'il pouvait d'un coup provoquer une tornade à la maison."
Katie Couric se tourne ensuite vers Robert De Niro et lui demande s'il a ressenti une responsabilité importante en jouant dans un film dans lequel le réalisateur était aussi investi personnellement. C'est alors que l'acteur craque, incapable d'empêcher ses larmes de couler. Il ajoute : "Je n'aime pas paraître trop émotif, mais je sais exactement ce que [David O. Russell] a pu ressentir." De Niro a-t-il lui même connu de près des souffrances de ce type ? On n'en saura pas davantage, mais l'émotion est grande sur le plateau.
Histoire de détendre l'atmosphère devenue un peu lourde, le réalisateur évoque le moment où il a parlé du scénario avec Robert De Niro et que ce dernier s'est montré particulièrement touché : "Je pensais qu'il avait un rhume des foins, puis j'ai compris qu'il avait en vérité les larmes aux yeux. Je l'ai regardé pleurer durant dix minutes et je me suis dit : 'Il est vraiment touché par ce scénario, ce serait merveilleux s'il pouvait jouer dans le film, parce que son coeur serait à 100% dedans.' Et il y est."
"Happiness Therapy", en salles depuis le 30 janvier
Invité aux côtés de Bradley Cooper et du réalisateur David O. Russell pour défendre la comédie dramatique Happiness Therapy, Robert De Niro n'est pas parvenu à masquer ses émotions. Dans un premier temps, le réalisateur explique que l'histoire de cet homme bipolaire sortant fraîchement d'un hôpital psychiatrique et tentant de reconstruire sa vie fait écho à sa propre vie. Le cinéaste raconte en effet que son fils a, lui aussi, subi des désordres bipolaires, similaires à ceux du personnage principal de son film incarné par Bradley Cooper : "J'ai un fils qui a des problèmes d'humeur, ce qui veut dire qu'il pouvait d'un coup provoquer une tornade à la maison."
Katie Couric se tourne ensuite vers Robert De Niro et lui demande s'il a ressenti une responsabilité importante en jouant dans un film dans lequel le réalisateur était aussi investi personnellement. C'est alors que l'acteur craque, incapable d'empêcher ses larmes de couler. Il ajoute : "Je n'aime pas paraître trop émotif, mais je sais exactement ce que [David O. Russell] a pu ressentir." De Niro a-t-il lui même connu de près des souffrances de ce type ? On n'en saura pas davantage, mais l'émotion est grande sur le plateau.
Histoire de détendre l'atmosphère devenue un peu lourde, le réalisateur évoque le moment où il a parlé du scénario avec Robert De Niro et que ce dernier s'est montré particulièrement touché : "Je pensais qu'il avait un rhume des foins, puis j'ai compris qu'il avait en vérité les larmes aux yeux. Je l'ai regardé pleurer durant dix minutes et je me suis dit : 'Il est vraiment touché par ce scénario, ce serait merveilleux s'il pouvait jouer dans le film, parce que son coeur serait à 100% dedans.' Et il y est."
"Happiness Therapy", en salles depuis le 30 janvier