Il ne s'arrêtera jamais ! Connu pour avoir subi plus de cinquante opérations de chirurgie esthétique au cours des dernières années, Rodrigo Alves, alias le Ken humain, a profité de son passage à la télévision italienne pour glisser de nouvelles confidences ahurissantes.
Invité sur le plateau du talk show italien Domenica Live, émission présentée par l'animatrice Barbara D'Urso, l'homme de 34 ans a réaffirmé son amour pour la chirurgie, assurant qu'il n'était pas près de s'arrêter en si bon chemin. Après avoir manqué de perdre son nez, il a annoncé qu'il se ferait bientôt opérer de la mâchoire et qu'il se ferait ajouter de nouveaux implants capillaires.
Devant un public et des invités hallucinés, Rodrigo Alves a également expliqué qu'il n'excluait pas d'avoir recours à une opération de changement de sexe, après avoir admis que ses parties génitales avaient pour le moment échappé à la folie du bistouri. "Un jour, lorsque je serai plus vieux, je pourrais changer de sexe et être une Barbie", a-t-il déclaré selon le Daily Mail. Mais a-t-il totalement perdu la tête ?
Sur Instagram, l'Anglo-Brésilien a tenu à justifier ses déclarations chocs. "Je suis très heureux d'être une poupée homme pour les nombreuses années à venir, et ce week-end, lors d'une émission live en Italie, une femme pas très aimable m'a fait la réflexion que je ressemblais plus à une femme qu'à un homme. Ma réponse pour elle a été que 'il n'est pas exclus qu'un jour, lorsque j'aurai atteint la cinquantaine, je pourrais changer de sexe et ressembler à une femme magnifique'. Mon message est que, dans la vie, avec de la volonté, du pouvoir et de la détermination, on peut tous ressembler à ce que l'on veut. Mon succès personnel est attribué au fait que je n'ai peur de rien et qu'il n'y a rien qui soit tabou à mes yeux. J'ai bien conscience de qui je suis et de ce à quoi je ressemble et je suis la personne la plus heureuse au monde parce que je m'aime et que je suis aimé. Ne jamais juger les apparences, ne jamais juger quelqu'un pour ses choix personnels de vie... Tant qu'on ne fait pas de mal aux autres, ce n'est le devoir de personne de nous harceler et de nous attaquer", a-t-il conclu.