Romy Schneider © Abaca
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Fort du succès de l'exposition consacrée à Brigitte Bardot à Boulogne-Billancourt dont il est commissaire (et qui va être déplacée à Saint-Tropez), Henry-Jean Servat s'attelle à un nouveau projet. Cet écrivain et journaliste passionné de cinéma va s'attaquer à une autre légende du septième art : Romy Schneider !
Selon Var Matin, Servat prépare une exposition sur cette grande actrice, tragiquement disparue en 1982. Pour ce faire, il a eu l'accord de sa fille devenue également actrice, Sarah Biasini et la manifestation pourrait prendre place au Grand Palais à Palais. Voilà un lieu digne du talent et de la beauté de la légendaire Romy.
Romy Schneider fait également l'objet d'une exposition jusqu'au 30 mai dans la capitale allemande, intitulée Vienne-Berlin-Paris. L'an passé, la comédienne revenait sur les écrans avec le documentaire sur le tournage de L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot. La fascination pour Romy ne ternit pas, près de trente ans après sa disparition.
Révélée dans la saga Sissi, Romy Schneider n'a jamais voulu s'enfermer dans des rôles de femmes belles mais naïves. Sa filmographie prend donc un tournant dans les années 60, fini la demoiselle de Sissi, Romy s'impose comme une actrice à part entière. Le Procès d'Orson Welles et La Piscine (qui fait l'objet d'un remake) de Jacques Deray font partie de ce changement qui annonce de nombreuses collaborations avec les plus grands cinéastes tels que Joseph Losey, Luchino Visconti ou encore Costa-Gavras.
De plus, elle est la première à remporter le César de la meilleure actrice en 1976 pour L'important c'est d'aimer d'Andrzej Zulawski et en reçoit un autre en 1979 pour Une histoire simple de Claude Sautet.
Un tel parcours a de quoi alimenter une légion d'expositions, celle de Henry-Jean Servat est attendue avec impatience.
Selon Var Matin, Servat prépare une exposition sur cette grande actrice, tragiquement disparue en 1982. Pour ce faire, il a eu l'accord de sa fille devenue également actrice, Sarah Biasini et la manifestation pourrait prendre place au Grand Palais à Palais. Voilà un lieu digne du talent et de la beauté de la légendaire Romy.
Romy Schneider fait également l'objet d'une exposition jusqu'au 30 mai dans la capitale allemande, intitulée Vienne-Berlin-Paris. L'an passé, la comédienne revenait sur les écrans avec le documentaire sur le tournage de L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot. La fascination pour Romy ne ternit pas, près de trente ans après sa disparition.
Révélée dans la saga Sissi, Romy Schneider n'a jamais voulu s'enfermer dans des rôles de femmes belles mais naïves. Sa filmographie prend donc un tournant dans les années 60, fini la demoiselle de Sissi, Romy s'impose comme une actrice à part entière. Le Procès d'Orson Welles et La Piscine (qui fait l'objet d'un remake) de Jacques Deray font partie de ce changement qui annonce de nombreuses collaborations avec les plus grands cinéastes tels que Joseph Losey, Luchino Visconti ou encore Costa-Gavras.
De plus, elle est la première à remporter le César de la meilleure actrice en 1976 pour L'important c'est d'aimer d'Andrzej Zulawski et en reçoit un autre en 1979 pour Une histoire simple de Claude Sautet.
Un tel parcours a de quoi alimenter une légion d'expositions, celle de Henry-Jean Servat est attendue avec impatience.
