Il semblerait que Ronan Keating soit plus que d'accord avec ça. Actuellement en plein marathon promo pour son nouvel album, Time of My Life, le chanteur anglais de 38 ans enchaîne les interviews et les questions pièges ! L'ex-Boyzone a été prié de s'expliquer après qu'il a accordé un entretien à un journaliste au cours duquel il s'est excusé pour ses erreurs passées, notamment l'adultère qui est l'origine de sa séparation avec sa première femme, Yvonne Connolly.
"Lors d'une récente interview, j'ai été cité en train de m'excuser. Il s'avère en réalité que le journaliste me disait que je devais être désolé de ce que j'avais fait. Ce que j'ai approuvé. Bien sûr, je suis désolé du mal que j'ai causé à mes enfants et à la famille Keating. A l'époque, j'étais dans une relation qui ne fonctionnait pas. Et si je n'avais pas vécu tout ce que j'ai traversé, je n'aurais jamais rencontré l'amour de ma vie, Storm. Pour ça, je suis infiniment reconnaissant et je ne regrette pas la fin de mon premier mariage", a-t-il écrit sur sa page Facebook. Un post effacé depuis, mais qui fera très certainement plaisir à la principale intéressée, qui est restée mariée au chanteur pendant douze ans avant d'être publiquement humiliée par l'infidélité de son ex.
Heureusement, toute cette sordide histoire et ce premier malheureux mariage n'ont pas été vains, assure Ronan Keating, qui se réjouit grâce à cela d'avoir pu rencontrer la belle Storm Uechtritz qu'il a épousée l'été dernier, quelques mois seulement après l'officialisation de son divorce. Rappelons aussi accessoirement qu'au cours de leur union, Ronan et la bombe irlandaise Yvonne ont donné naissance à trois beaux enfants : Jack (16 ans), Missy (14 ans) et Ali (10 ans).
Les trois enfants, nés de son premier mariage, s'entendent d'ailleurs à merveille avec leur nouvelle belle-mère - que leur père, toujours un peu dépourvu de tact envers son ex-femme, a justement qualifiée de "seul et unique amour de sa vie" sur les réseaux sociaux. Au cas où certains n'auraient pas encore bien reçu le message.
Coline Chavaroche