Vendredi 10 septembre 2021, tout le gratin people et politique était présent à Roland Garros. Afin d'assister à la victoire de Tony Yoka (représentant la France) face à Petar Milas (Croatie) durant le gala de boxe "La Conquête". Et à l'annonce de sa victoire, le boxeur de 29 ans a d'ailleurs tenu à saluer la mémoire du regretté Jean-Paul Belmondo en brandissant fièrement son portrait sur le ring. "J'avais vraiment à coeur de rendre hommage à monsieur Belmondo", a expliqué le sportif à la fin du match. Sans manquer de célébrer son titre en posant fièrement avec ses fils dans les bras.
Côté gradins, c'est véritablement la foule de célébrités qui a suscité l'engouement des 8 000 spectateurs présents. Entre la présence de figures politiques, comme notre président Emmanuel Macron, mais aussi celle de la maire du 7e arrondissement de Paris Rachida Dati ou encore de la candidate à la présidentielle Valérie Pecresse, les spectateurs ont aussi eu la surprise de voir de grands noms de la chanson. Accrochés à leurs sièges durant ce gala, Yannick Noah, Pascal Obispo et Gilbert Montagné ont également été vivement remarqués parmi la foule. Sans compter la présence de l'animateur et fan de boxe Cyril Hanouna et de l'humoriste Camille Lellouche qui ont également souhaité soutenir le boxeur français.
Toutefois, le couple entre Franck Ballanger et Roxana Maracineanu s'est aussi fait remarquer en faisant une très rare apparition publique. La ministre des Sports se devait d'être présente pour saluer les performances de l'équipe française de boxe. Et dans les gradins, cette dernière s'est montrée très complice auprès de son époux. Tout porte à croire que l'ancien journaliste sportif de France Inter n'a visiblement plus de mal avec le nouveau métier de sa femme.
Pour rappel, lors d'une interview accordée à L'Équipe en août 2019, ce dernier s'était épanché sur les crispations qu'il a avait ressenti lorsque Roxana Maracineanu est devenue ministre : "Si j'avais réfléchi deux secondes, j'aurais dit la même chose, mais en pensant un peu à ce qui allait m'arriver. J'ai mesuré assez facilement ce que ça allait être pour elle : les horaires, la vie publique. Pour moi, je n'ai pas trop réfléchi. Ça a créé des crispations quand je me suis rendu compte de ce qu'allait être ma vie."