Après les journalistes, des supporters ou encore ses propres coéquipiers, Samir Nasri s'embrouille avec... un inconnu sur Twitter. Croyant envoyer un message privé à un ami, l'enfant terrible des Bleus s'est malheureusement trompé de compte en s'adressant à un parfait anonyme. Manque de bol, ce dernier est un fan d'Arsenal - son ancien club - et des insultes vont très vite fuser entre les deux, comme en atteste une capture d'écran de l'échange réalisée par l'interlocuteur de la star...
En plus de ses talents en matière de football, Samir Nasri a donc aussi le don de se disputer avec la terre entière (ou presque). Le milieu de terrain de Manchester City en a fait la nouvelle démonstration en se disputant par mails avec un inconnu. "Hello Eric, long time my friend. Sophia m'a passé ton Twitter vu qu'elle a pas ton mail tout va bien là-bas ?? Happy NY mec. Bises, SN", écrit d'abord le joueur. Un message qui va surprendre son destinataire, lequel va vite se mettre à le traiter de "s*****"...
Sauf qu'au lieu d'ignorer cet internaute à l'avatar en forme de hamburger (@Hamburgooner) l'ex-joueur de l'OM va l'insulter à son tour et continuer à répondre aux provocations de l'internaute supporter d'Arsenal qui ne cesse de lui poser des questions sur le club qu'il a quitté sur fond de polémique en 2011. Au bout de presque 10 tweets, l'international français menace même d'appeler la police avant que son interlocuteur ne se moque une dernière fois de lui et ne réponde pas au dernier tweet du joueur des Citizens.
Un échange qui, s'il s'avérait être authentique, ne devrait pas arranger la réputation du Samir Nasri connu pour son caractère impulsif. Une réputation qu'il a lui-même longtemps entretenue, notamment avec ses insultes à l'encontre d'un journaliste de l'AFP quelques jours après son "Ferme ta g*****" adressé à la tribune de presse lors de la célébration de son but à l'Euro 2012. Des incidents qui lui auront valu trois matches de suspension par la Fédération française de foot et une longue absence au sein des Bleus avant d'y revenir et de faire son mea culpa.