Samuel Etienne, à Paris, en avril 2011.© Abaca
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Tout l'été, France 2 joue les grands seigneurs et offre des vacances de rêve à ses téléspectateurs pendant que des célébrités prennent leur place sur leur lieu de travail... Un concept audacieux qui porte bien son nom : Partez tranquilles, France 2 s'occupe de tout.
Après Nelson Monfort et Patrice Laffont, c'est au tour de Samuel Etienne de se prêter au jeu dans l'émission diffusée ce dimanche 24 juillet. L'ex-animateur de L'Edition Spéciale (Canal+) qui est désormais aux commandes du 12/13 sur France 3 depuis septembre 2010, a investi le Royal Palace, l'un des plus prestigieux cabaret de France, situé à Kirrwiller en Alsace. Pour l'occasion, il s'est confié au magazine France Dimanche dans son édition en kiosques vendredi 22 juillet, et a notamment évoqué sa surprenante passion pour... les tatouages !
"J'ai commencé à me faire tatouer au début de ma trentième année. J'ai longtemps trouvé ça vulgaire et, un jour, j'ai rencontré quelqu'un de tatoué. Chemin faisant, j'ai trouvé l'idée intéressante. A mesure que j'accumule les tatouages, j'ai l'impression que mon corps m'appartient un peu plus, et je suis un peu plus en paix avec lui. Le seul risque, c'est l'addiction. J'essaie donc de me réfréner et me limite à un nouveau tatouage tous les cinq ans", confie le présentateur, qu'on imaginait loin de cet univers si particulier.
Des tatouages qu'il préfère cacher car "ça peut choquer", précise-t-il, sans doute conscient que cette particularité ne colle pas vraiment avec l'image plus lisse de la chaîne sur laquelle il officie. "Se couper d'une partie des téléspectateurs en raison de ses propres choix esthétiques, ce serait quand même dommage", analyse Samuel Etienne, très justement. Il confirme cependant que "le tatouage de la quarantaine est en cours de préparation".
Cet entretien est également l'occasion pour lui de parler du jour où il a commis LA boulette de sa carrière...
"J'ai vécu un cauchemar de présentateur à mes débuts sur Canal+. J'ai fait une erreur de manipulation : j'ai chargé le journal de la veille sur le prompteur. Quand on 25 ans, qu'on n'a pas l'expérience, on commence à bégayer, on prend ses papiers, on farfouille, on met cinq ou six minutes à s'en remettre, on est déconcentré, du coup, tout le reste du journal est pourri, et on sort de là, la chemise trempée. Depuis, je vérifie dix fois et, cinq minutes avant l'antenne, je relis le début du journal", conclut le journaliste qui fêtait ses 40 ans au mois de mai. Le genre d'erreur qu'on ne laisse pas se produire une deuxième fois...
Joachim Ohnona
Après Nelson Monfort et Patrice Laffont, c'est au tour de Samuel Etienne de se prêter au jeu dans l'émission diffusée ce dimanche 24 juillet. L'ex-animateur de L'Edition Spéciale (Canal+) qui est désormais aux commandes du 12/13 sur France 3 depuis septembre 2010, a investi le Royal Palace, l'un des plus prestigieux cabaret de France, situé à Kirrwiller en Alsace. Pour l'occasion, il s'est confié au magazine France Dimanche dans son édition en kiosques vendredi 22 juillet, et a notamment évoqué sa surprenante passion pour... les tatouages !
"J'ai commencé à me faire tatouer au début de ma trentième année. J'ai longtemps trouvé ça vulgaire et, un jour, j'ai rencontré quelqu'un de tatoué. Chemin faisant, j'ai trouvé l'idée intéressante. A mesure que j'accumule les tatouages, j'ai l'impression que mon corps m'appartient un peu plus, et je suis un peu plus en paix avec lui. Le seul risque, c'est l'addiction. J'essaie donc de me réfréner et me limite à un nouveau tatouage tous les cinq ans", confie le présentateur, qu'on imaginait loin de cet univers si particulier.
Des tatouages qu'il préfère cacher car "ça peut choquer", précise-t-il, sans doute conscient que cette particularité ne colle pas vraiment avec l'image plus lisse de la chaîne sur laquelle il officie. "Se couper d'une partie des téléspectateurs en raison de ses propres choix esthétiques, ce serait quand même dommage", analyse Samuel Etienne, très justement. Il confirme cependant que "le tatouage de la quarantaine est en cours de préparation".
Cet entretien est également l'occasion pour lui de parler du jour où il a commis LA boulette de sa carrière...
"J'ai vécu un cauchemar de présentateur à mes débuts sur Canal+. J'ai fait une erreur de manipulation : j'ai chargé le journal de la veille sur le prompteur. Quand on 25 ans, qu'on n'a pas l'expérience, on commence à bégayer, on prend ses papiers, on farfouille, on met cinq ou six minutes à s'en remettre, on est déconcentré, du coup, tout le reste du journal est pourri, et on sort de là, la chemise trempée. Depuis, je vérifie dix fois et, cinq minutes avant l'antenne, je relis le début du journal", conclut le journaliste qui fêtait ses 40 ans au mois de mai. Le genre d'erreur qu'on ne laisse pas se produire une deuxième fois...
Joachim Ohnona