Samedi 13 novembre, vous retrouverez sur France 2, Champs-Elysées présenté par Michel Drucker. Un Michel qui a dû alléger son planning radio pour se consacrer à ses multiples primes sur France 2.
Après 25 ans d'absence (le show a été diffusé du 16 janvier 1982 au 29 juin 1980), l'émission revient pour mettre à l'honneur les personnalités dans le fameux studio Gabriel. Dans un décor somptueux évoquant "Paris by night", de nombreux artistes vont se succéder pour cette nouvelle "première émission".
Les grands assureront le parrainage comme Alain Delon bien sûr, Patrick Bruel, Julien Clerc, Pierre Perret ou encore Charles Aznavour. Et les plus jeunes artistes ouvriront le bal de cette émission nouvelle génération : Grand Corps Malade, Début de Soirée (Nuit de foliiiiiie ! tube des années 80), Camélia Jordana, Zaz ou encore Coeur de Pirate. Évidemment, ces artistes chanteront aussi bien solo qu'en duo ! Et surprise qui vient d'arriver : Bénabar et Seal (sans déguisement, cette fois !) seront aussi invités !
Parmi les humoristes, nous retrouverons les indéboulonnables Chevallier & Laspalès, Anne Roumanoff, Nicolas Canteloup et Mathieu Mandenian (qui collabore notamment avec le comique-rockeur Thomas VDB).
Mais surtout, un sympathique clin d'oeil sera diffusé : le clip Thriller de Michael Jackson a été diffusé pour la première fois en France dans l'émission de Drucker en 1983. Pour l'occasion, il sera rediffusé, ainsi que des images d'archives afin de créer la transition avec cette nouvelle formule de Champs-Élysées.
Pour l'instant, les indiscrétions sur ce programme sont peu nombreuses puisque le fil conducteur de l'émission n'est pas encore exactement connu et que la bande-annonce n'est même pas encore tournée !
Espérons toutefois que la nouvelle version sera aussi bonne et emblématique que celle d'autrefois (qui nous a fait découvrir Mylène Farmer , ou qui nous laissé l'image culte d'un Gainsbarre provoquant Whitney Houston) nous réservera de nouvelles surprises.
Après le revival de Sacrée Soirée, voilà celui de Champs-Elysées : la nostalgie a encore de beaux jours devant elle...