Le 22 septembre 2021 est paru le 6e numéro de S, le magazine de Sophie Davant. La présentatrice de 58 ans y a réalisé une interview d'Evelyne Dhéliat. Elle a notamment raconté ses souvenirs concernant la rentrée des classes, l'occasion de découvrir l'un de ses regrets.
Le quotidien de Sophie Davant a changé en 1998. Ayant notamment fait ses preuves en tant que chroniqueuse dans Télématin, William Leymergie lui a proposé d'être aux commandes d'une nouvelle émission : C'est au programme. C'était la première fois que la charmante blonde de 58 ans prenait les rênes d'un programme, en direct qui plus est. L'ancienne épouse de Pierre Sled devait ainsi se lever à 6h30 du matin et sa rentrée tombait en même temps que celle de ses enfants Nicolas (28 ans) et Valentine (25 ans). Impossible donc pour elle de les accompagner pour cette journée si spéciale. "Je n'ai pas pu me demander comment je ferais pour accompagner mes enfants à l'école. C'était ma rentrée... Je n'ai donc pas vécu ces moments précieux où tu laisses ton enfant à la porte, tu dis au revoir de la main à ton petit bout de chou de trois ans. Avec le recul, je suis certaine d'avoir loupé des moments importants. Mais voilà, je n'avais pas le choix", a-t-elle expliqué.
En y réfléchissant, Sophie Davant se dit que "c'est à peine croyable d'imaginer [qu'elle n'a] jamais pu accompagner" ses enfants pour le premier jour de classe. Et quand elle était de nouveau disponible, en 2019, il était trop tard. "Au lycée, les deux ados n'avaient aucune envie de me voir traîner dans les parages. Ils n'avaient plus l'âge et puis surtout, Pierre et moi étions plutôt des gêneurs, pour eux. Ils devaient supporter les remarques, les moqueries de leurs camarades à notre propos. Nous étions souvent cités dans la presse people. Et pour eux, cela n'avait vraiment rien de drôle", a-t-elle conclu.
A plusieurs reprises, Sophie Davant a en effet expliqué que ses enfants avait parfois souffert de sa notoriété et de celle de leur papa, qui est un ancien présentateur, journaliste et dirigeant de télévision. En janvier dernier, Valentine expliquait dans le magazine de sa maman qu'ils avaient parfois été la cible de "réflexions" ou de "méchancetés gratuites". "Mais je m'en suis bien sortie. Ca a été plus compliqué pour mon frère, qui a été davantage harcelé que moi", avait-elle notamment précisé.