Stéphane Bern:'J'étais un vieux de 35 ans, je suis un jeune de 47 ans turbulent'
Publié le 3 novembre 2011 à 21:12
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Par Valentine M.
Stéphane Bern en octobre 2011 à Avignon Stéphane Bern en octobre 2011 à Avignon© Abaca
Stéphane Bern en juillet 98 à Saint-Tropez
Stéphane Bern en février 2003 à Paris
Stéphane Bern en février 2004 à Paris
Stéphane Bern au Casino de Paris en 98
Stéphane Bern en février 2010 à Paris
Stéphane Bern en septembre 2011 à Paris
TéléObs
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Ovni du paysage médiatique français, Stéphane Bern est aussi l'une de ses valeurs les plus sûres. Avec une rentrée bien chargée et pleine de nouveautés (il officie sur RTL après avoir travaillé onze ans sur France Inter et est à la télévision sur France 2), Stéphane Bern est heureux du souffle nouveau qu'a pris sa carrière. Après un début de saison plus que performant, le fou de la radio s'est confié au TéléObs (en kiosques jeudi 3 novembre 2011).

Stéphane Bern est un homme heureux après deux mois d'antenne sur RTL : "J'ai retrouvé le plaisir de faire les choses." Mais l'animateur de A la bonne heure n'oublie pas ses années France Inter, qui lui ont permis d'être l'homme qu'il est aujourd'hui : "Je suis très reconnaissant à l'égard de France Inter pour ces onze années. C'est là que j'ai déboutonné mon corset. En arrivant, j'étais un vieux de 35 ans, très propre sur lui. Désormais, je suis un jeune homme de 47 ans, plus turbulent."

Dans le cadre de l'interview, on découvre aussi un Stéphane Bern loin d'être rancunier. Son meilleur exemple ? Avoir accepté d'enrôler Eric Naulleau alors que ce dernier avait critiqué un de ses livres. "Eric Naulleau, dans une de ses émissions, avait qualifié un de mes livres de degré zéro de la littérature. Cela ne m'a pas empêché de l'enrôler dans l'équipe", déclare-t-il.

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Présent aussi à la télévision sur France Télévisions, l'animateur, ami des chiens, nous a gratifiés tout l'été d'excellents documentaires dans Secrets d'histoire, et a aussi animé La maison préférée des français en prime-time le 18 octobre dernier. Valeur sûre de la chaîne (dont les audiences sont catastrophiques), il souligne le manque de reconnaissance de son employeur : "J'ai l'impression qu'avec Sophie Davant, nous faisons partie des rares animateurs de France Télévisions dont les émissions marchent mais qu'on ne met jamais en avant."

Réaliste et serein, celui qui vient de faire ses premiers pas au cinéma dans un rôle fait pour lui conclut : "Il faut que je me fasse à l'idée que je n'ai pas la carte. Pas grave. Cela fait vingt ans que ça dure !"

Retrouvez l'interview dans son intégralité dans le TéléObs (en kiosques jeudi 3 novembre 2011).

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