Eric Besson© Angeli
La suite après la publicité
Nouvelle provoc' de l'impertinent Stéphane Guillon ! Invité de l'émission C dans l'air de France le 7 février sur France 5, l'humoriste n'a même pas attendu que l'animatrice Alessandra Sublet termine sa question pour se jeter sur l'album photo qui lui est présenté, retirer la page avec les photos de politiques et déchirer symboliquement la photo d'Eric Besson. Le coup d'éclat se termine pas cette phrase : "Ah ! Ça fait du bien !"
Eric Besson, actuel ministre de l'Industrie, ancien ministre de l'Immigration, a un passif avec Guillon qui explique le geste du comique. En mars dernier, Stéphane Guillon avait fait une de ses fameuses chroniques de France Inter sur Besson, le comparant de "taupe de Le Pen", dont le clan serait pour lui "une famille de substitution". Jean-Luc Hees, président de Radio France, avait ensuite présenté ses excuses.
Ces propos s'inscrivent dans l'affaire Guillon-France Inter. Stéphane Guillon avait été licencié en juin 2010 après des mois de conflit contre Philippe Val, directeur de France Inter, et Jean-Luc Hees, en raison de ses chroniques acerbes. Le 28 janvier, France Inter a été condamnée aux Prud'hommes pour avoir licencié Stéphane Guillon "sans cause réelles et sérieuses", soit une victoire pour l'humoriste, qui s'est dit toutefois "ravi" mais "scandalisé" qu'une "société d'état ait préféré perdre autant d'argent et d'auditeurs pour faire taire un humoriste".
Eric Besson, actuel ministre de l'Industrie, ancien ministre de l'Immigration, a un passif avec Guillon qui explique le geste du comique. En mars dernier, Stéphane Guillon avait fait une de ses fameuses chroniques de France Inter sur Besson, le comparant de "taupe de Le Pen", dont le clan serait pour lui "une famille de substitution". Jean-Luc Hees, président de Radio France, avait ensuite présenté ses excuses.
Ces propos s'inscrivent dans l'affaire Guillon-France Inter. Stéphane Guillon avait été licencié en juin 2010 après des mois de conflit contre Philippe Val, directeur de France Inter, et Jean-Luc Hees, en raison de ses chroniques acerbes. Le 28 janvier, France Inter a été condamnée aux Prud'hommes pour avoir licencié Stéphane Guillon "sans cause réelles et sérieuses", soit une victoire pour l'humoriste, qui s'est dit toutefois "ravi" mais "scandalisé" qu'une "société d'état ait préféré perdre autant d'argent et d'auditeurs pour faire taire un humoriste".