Stéphane Plaza au Village de Roland-Garros le 9 juin 2013.© Abaca
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Stéphane Plaza vient de poursuivre devant la justice le gérant d'un réseau d'agences immobilières baptisé Plaza Immobilier qu'il accuse d'utiliser son nom pour semer la confusion dans l'esprit des clients. C'est ce que révèlent nos confrères de Voici.fr.
Tout a commencé en 2012... Songeant sérieusement à lancer sa propre enseigne d'agences immobilières, Stéphane Plaza dépose deux marques auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) : Stéphane Plaza Immobilier et Plaza Immobilier. Malheureusement, l'animateur ignore que son dossier n'est pas validé par l'INPI du fait de signatures manquantes. Du coup, quand un individu répondant au nom de François-Régis Cuiret décide, le 20 janvier 2013, de nommer les deux agences qu'il vient de racheter Plaza Immobilier et de déposer la marque à l'INPI, les droits d'exploitation de ce nom lui sont accordés.
De fait, quand Stéphane Plaza tente à nouveau de déposer, en juillet 2013, les deux marques associées à son nom, il voit un sérieux obstacle se poser en travers de sa route... Et cet obstacle s'appelle François-Régis Cuiret. Sa demande est rejetée. Pour l'avocate du présentateur de Recherche appartement ou maison, cela ne fait aucun doute : si monsieur Cuiret a attribué le nom de Plaza Immobilier à ses deux agences, c'est forcément pour laisser entendre que la star de M6, connue pour ses activités immobilières, était partenaire.
De son côté, l'homme martèle que l'accusation est totalement saugrenue ! Il affirme avoir été inspiré par le palace parisien Le Plaza Athénée, ajoutant même que le mot "plaza" en italien signifie "place". Suffisant pour être inattaquable ?
Dans son assignation, l'avocate de Stéphane Plaza ajoute avoir adressé plusieurs courriers de mise en demeure au propriétaire de l'enseigne Plaza Immobilier, avant de finalement saisir la justice. Courriers que François-Régis Cuiret assure ne pas avoir reçus. De plus, l'homme - actuellement à la recherche d'un emploi - semble insolvable puisque ses deux agences immobilières sont aujourd'hui placées en liquidation judiciaire.
L'affaire se poursuivra devant la justice : Stéphane Plaza, que l'on retrouve dans la pièce À gauche en sortant de l'ascenseur jusqu'au 13 septembre au théâtre Saint-Georges à Paris, réclame 70 000 euros au titre de dommages et intérêts.
Joachim Ohnona
Tout a commencé en 2012... Songeant sérieusement à lancer sa propre enseigne d'agences immobilières, Stéphane Plaza dépose deux marques auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) : Stéphane Plaza Immobilier et Plaza Immobilier. Malheureusement, l'animateur ignore que son dossier n'est pas validé par l'INPI du fait de signatures manquantes. Du coup, quand un individu répondant au nom de François-Régis Cuiret décide, le 20 janvier 2013, de nommer les deux agences qu'il vient de racheter Plaza Immobilier et de déposer la marque à l'INPI, les droits d'exploitation de ce nom lui sont accordés.
De fait, quand Stéphane Plaza tente à nouveau de déposer, en juillet 2013, les deux marques associées à son nom, il voit un sérieux obstacle se poser en travers de sa route... Et cet obstacle s'appelle François-Régis Cuiret. Sa demande est rejetée. Pour l'avocate du présentateur de Recherche appartement ou maison, cela ne fait aucun doute : si monsieur Cuiret a attribué le nom de Plaza Immobilier à ses deux agences, c'est forcément pour laisser entendre que la star de M6, connue pour ses activités immobilières, était partenaire.
De son côté, l'homme martèle que l'accusation est totalement saugrenue ! Il affirme avoir été inspiré par le palace parisien Le Plaza Athénée, ajoutant même que le mot "plaza" en italien signifie "place". Suffisant pour être inattaquable ?
Dans son assignation, l'avocate de Stéphane Plaza ajoute avoir adressé plusieurs courriers de mise en demeure au propriétaire de l'enseigne Plaza Immobilier, avant de finalement saisir la justice. Courriers que François-Régis Cuiret assure ne pas avoir reçus. De plus, l'homme - actuellement à la recherche d'un emploi - semble insolvable puisque ses deux agences immobilières sont aujourd'hui placées en liquidation judiciaire.
L'affaire se poursuivra devant la justice : Stéphane Plaza, que l'on retrouve dans la pièce À gauche en sortant de l'ascenseur jusqu'au 13 septembre au théâtre Saint-Georges à Paris, réclame 70 000 euros au titre de dommages et intérêts.
Joachim Ohnona