A l'aube du 35e Festival international du cirque de Monaco qui débutera le 20 janvier prochain, la princesse Stéphanie de Monaco revient sur sa jolie vie monégasque dans le Parisien du jour, sur la fierté que ses enfants lui procurent (Louis, 18 ans, Pauline, 16 ans, et Camille 12 ans) et sur LE mariage de l'année, celui de son frère Albert et de Charlene Wittstock, qui se déroulera sur le Rocher les 1er et 2 juillet prochains.
"Comme toutes les petites soeurs, je veux voir mon frère heureux. C'est la concrétisation de leur amour et de leur bonheur", confie-t-elle au quotidien. Et d'ajouter : "Je ne pouvais pas rêver mieux comme belle-soeur"
Et bien que la délicieuse Stéphanie confie son bonheur pour la prochaine union de son frère, pas question pour elle de convoler une nouvelle fois ! Divorcée de Daniel Ducruet, papa de sa fille Pauline et de son fils Louis (Camille est née de son amour avec son ancien garde du corps, Jean-Raymond Gottlieb) et d'Adans Lopez Peres, un acrobate portugais, elle a une vision très claire du mariage et a juré qu'on ne l'y reprendrait plus.. ! "Ah non, Ah, c'est bon, je suis bien avec mes ados et tout va bien, le plus beau métier du monde, c'est maman", dit-elle avant d'ajouter quelle ne "regrette pas une seule seconde de (sa) vie".
Au sujet de ses enfants, elle ne tarit pas d'éloges et ces derniers temps, l'attention se focalise sur Pauline, qui après avoir participé aux Jeux Olympiques de la jeunesse en 2010 dans la catégorie plongeon (natation), prépare activement ceux de 2012, à Londres. "Elle s'entraîne très, très dur. On est tous derrière elle et je souhaite qu'elle représente dignement son pays et sa famille et surtout qu'elle se fasse plaisir".
Soeur aimante, maman dévouée, Stéphanie de Monaco est également une femme investie, du Festival International du cirque de Monte-Carlo, qu'elle préside depuis la mort de son père en 2005, au centre de repos et d'accueil pour les malades du sida qu'elle a ouvert à Carpentras.
Stéphanie à coeur ouvert, c'est à retrouver dans votre édition du Parisien de ce jeudi 13 janvier 2011 et en audio encliquant ici.