Tahar Rahim dans le film Grand Central
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Lors du dernier Festival de Cannes, Tahar Rahim a brillé dans deux longs métrages : Le Passé d'Asghar Farhadi, et Grand Central de Rebecca Zlotowski. Dans ces oeuvres acclamées, il a pour partenaires, respectivement, Bérénice Bejo et Léa Seydoux. S'il louera leurs talents, dans son coeur, il n'y a qu'une femme, la sienne, Leïla Bekhti. Le Prophète a épousé la femme qui joue avec lui dans le film qui lui a valu deux César. Depuis, l'acteur se veut très discret sur sa vie privée, limitant le plus possible leurs photos en couple durant des événements, et les envolées lyriques sur son amour, par pudeur. Cependant, le magazine Marie Claire obtient de lui quelques mots sur sa relation avec la belle comédienne.
Au cours d'un entretien à coeur ouvert, Tahar Rahim ne veut pas trop parler de sa famille nombreuse, lui qui a grandi dans l'Est, à Belfort. Mais il glissera tout de même un hommage à celle qui lui a donné la vie : "Mon absolue, ma merveilleuse mère." Pour autant, un tel amour pour elle ne l'empêche pas de former un couple épanoui avec Leïla Bekhti : "Je n'ai pas de problème de transfert : je n'ai pas recherché une mère chez ma femme. J'en ai une, il n'y en a qu'une. Elle a la position la plus élevée. Je ne me suis pas construit un idéal féminin avec l'image de ma mère. L'amour d'une femme est un amour différent." Pour lui, le couple doit être pimenté et chacun doit s'engager pour un voyage. Et de sa Leïla, il dira, après qu'elle-même a dit qu'il avait le coeur blanc : "Elle a le coeur blanc sur la main."
Torse nu sur les photos, Tahar Rahim se dévoile aussi en paroles. Il avouera qu'il n'est pas très grand - "dès que je prends 2 kilos, je fais gros" - et qu'il n'aime rien de particulier dans son visage. Les regards des femmes le flattent, mais il a du mal à croire qu'il pourrait être un fantasme. Ce qui l'intéresse, c'est d'être, non pas une icône, comme Brad Pitt ou Johnny Depp, mais une légende, à l'image de Robert De Niro ou Marlon Brando. Tout en précisant : "C'est ma passion, sachant que ça n'arrivera peut-être jamais." Acharné de travail, il utilise la violence qui l'anime pour la transformer en combativité et en exigence. Pour éclater toujours plus sur le grand écran.
"Grand Central", en salles le 28 août
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Marie Claire du mois de septembre 2013
Au cours d'un entretien à coeur ouvert, Tahar Rahim ne veut pas trop parler de sa famille nombreuse, lui qui a grandi dans l'Est, à Belfort. Mais il glissera tout de même un hommage à celle qui lui a donné la vie : "Mon absolue, ma merveilleuse mère." Pour autant, un tel amour pour elle ne l'empêche pas de former un couple épanoui avec Leïla Bekhti : "Je n'ai pas de problème de transfert : je n'ai pas recherché une mère chez ma femme. J'en ai une, il n'y en a qu'une. Elle a la position la plus élevée. Je ne me suis pas construit un idéal féminin avec l'image de ma mère. L'amour d'une femme est un amour différent." Pour lui, le couple doit être pimenté et chacun doit s'engager pour un voyage. Et de sa Leïla, il dira, après qu'elle-même a dit qu'il avait le coeur blanc : "Elle a le coeur blanc sur la main."
Torse nu sur les photos, Tahar Rahim se dévoile aussi en paroles. Il avouera qu'il n'est pas très grand - "dès que je prends 2 kilos, je fais gros" - et qu'il n'aime rien de particulier dans son visage. Les regards des femmes le flattent, mais il a du mal à croire qu'il pourrait être un fantasme. Ce qui l'intéresse, c'est d'être, non pas une icône, comme Brad Pitt ou Johnny Depp, mais une légende, à l'image de Robert De Niro ou Marlon Brando. Tout en précisant : "C'est ma passion, sachant que ça n'arrivera peut-être jamais." Acharné de travail, il utilise la violence qui l'anime pour la transformer en combativité et en exigence. Pour éclater toujours plus sur le grand écran.
"Grand Central", en salles le 28 août
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Marie Claire du mois de septembre 2013