Toujours aussi pétillante, la belle Australienne a fait une apparition décontractée tandis qu'elle tenait à bout de bras son grand garçon, Bodhi (1 an et demi). Accompagnée de son mari Mark Webber, la jolie Teresa Palmer était des plus rayonnantes tandis qu'elle allait déjeuner avec sa petite famille dans un restaurant local du quartier de Silver Lake, à Los Angeles, où le couple possède une maison. S'il a laissé à sa femme le soin de gérer leur adorable garçon, qui ne semblait pas vouloir poser un orteil sur le sol, l'acteur américain de 35 ans s'est tout de même rendu utile en portant le couffin du petit. Une organisation bien huilée qui semble parfaitement réussir au couple.
Mariés depuis le mois de décembre 2013, Teresa et Mark affiche un amour sans faille et un bonheur à toute épreuve. Pourtant, les deux acteurs se sont rencontrés... sur Internet ! C'est grâce aux réseaux sociaux et plus particulièrement à Twitter qu'ils ont fait connaissance, il y a trois ans maintenant. Les deux tourtereaux ont confié les détails de leur rencontre à l'édition australienne du magazine Marie Claire le mois dernier, et le moins que l'on puisse dire, c'est que celle-ci ne manquait pas de romantisme. Le père de deux enfants (Bodhi et Isaac, 6 ans, fruit d'une précédente relation) a expliqué être tombé amoureux de la star du film Warm Bodies bien avant de la rencontrer pour de vrai. Après avoir discuté en ligne à propos d'un film qu'il avait réalisé, les deux amoureux ont ensuite commencé à s'écrire des lettres d'amour enflammées qu'ils s'envoyaient par e-mail. Ah, les petits miracles de la technologie...
"Nous avions un pacte tous les deux, nous ne devions pas nous parler avant de nous rencontrer en personne. Alors, pendant 40 jours, tout ce que nous avons fait, c'est nous écrire", a-t-il confié. Plutôt sensible à la plume de sa dulcinée, l'acteur que l'on a vu dans Jessabelle a avoué être tombé amoureux dès la cinquième lettre. Un amour qui s'est tout de suite confirmé quand il a posé les yeux sur celle qui joue dans le remake de Point Break. On le comprend...
Coline Chavaroche