L'attente est bientôt terminée pour Tony Yoka. Après un an de suspension, le boxeur français de 27 ans va reprendre du service le 13 juillet 2019 en affrontant l'Allemand Alexander Dimitrenko. Un gros dispositif a été mis en place pour ce combat avec une "Fight week" qui a débuté avec un entraînement public qui s'est déroulé le mercredi 10 juillet 2019.
Accompagné de Souleymane Cissokho, autre boxeur professionnel qui va combattre le 13 juillet, Tony Yoka s'est comme prévu entraîné, dévoilant sa silhouette sculptée qu'il a continué d'entretenir assidûment durant ses mois de suspension. Le champion olympique couvert d'or il y a bientôt trois ans à Rio a convié un invité spécial à cette session d'entraînement, durant laquelle il a répondu à de nombreux médias : son fils Ali, qui fêtera ses 2 ans dans quelques semaines. Plongé depuis tout petit dans l'univers des rings et des gants de boxe, le garçonnet est déjà un passionné et un sacré imitateur. Future graine de champion, l'adorable petit Ali a piqué l'équipement de son papa pour des photos souvenirs.
Une personne manquait malgré tout dans ce joli tableau familial : Estelle Mossely, la femme de Tony Yoka. Alors que le couple marié depuis un peu plus d'un an se montre de moins en moins, Tony Yoka a récemment démenti les rumeurs de séparation. "On dit ça ? Pff...", s'était-il d'abord étonné auprès du Parisien, agacé. "C'est toujours ma femme", avait-il ensuite ajouté. Estelle sera-t-elle présente le 13 juillet prochain pour le premier combat de Tony depuis sa suspension ?
Le boxeur avait écopé d'une suspension d'un an avec sursis en mars 2018, sanction décidée par la Fédération française de boxe pour des manquements à la réglementation antidopage. Il avait failli lors de plusieurs contrôles antidopage survenus entre juillet 2016 et juillet 2017. Si le champion n'avait pas souhaité contester la sanction, il avait cependant nié les faits.
A l'occasion du grand retour de Tony Yoka, C8 diffuse un documentaire inédit ce jeudi 11 juillet à partir de 21 heures, Tony Yoka, la (re)conquête.