L'un des candidats de Mariés au premier regard attend le plus beau des cadeaux. Sa femme Méghane est enceinte de leur premier enfant. Mais pour réaliser leur rêve, les tourtereaux sont passés par un véritable parcours du combattant. Un combat que la jeune femme a raconté au micro du podcast Entre 2 Bibs.
C'est en 2017 que Florian a participé à Mariés au premier regard. A l'époque, il s'est marié avec Emma avec laquelle il était compatible à 83%. Mais leur union n'a pas duré. C'est finalement en dehors des caméras qu'il a trouvé le grand amour avec Méghane. Tous deux se sont mariés en août 2022 et ils n'ont pas manqué de partager quelques photos de ce jour heureux.
Florian et Méghane ont ensuite souhaité agrandir leur famille. Et le parcours a été long. "Le miracle de notre vie. Ces derniers mois et années maintenant, presque 2, n'ont pas été faciles. Nous rêvions de pouvoir à notre tour donner la vie à un petit être qui serait le fruit de notre amour. Malheureusement, la vie met parfois quelques difficultés sur son chemin, et tenter de les relever fait partie intégrante du jeu. Après quelques mois d'un parcours PMA qui nous aura soudé à tout jamais, nous sommes si heureux de pouvoir vous annoncer que nous allons enfin pouvoir vivre le plus beau rôle de notre vie : celui d'être Papa et Maman de ce petit Bébou qui nous comble déjà de bonheur", avait-il écrit en juin dernier pour annoncer la grossesse de sa chère et tendre. Un petit garçon qu'ils attendent avec impatience et qui devrait naître d'ici trois mois.
En attendant, Méghane a accepté de se confier sur leur parcours pour avoir un bébé. Après avoir appris qu'ils ont eu ce désir d'avoir un enfant très tôt, tant leur amour était fort, elle a expliqué qu'au départ, ils ont essayé de "ne pas trop se prendre la tête", ils ont vite "été rattrapés par le fait [qu'ils étaient] prêts" et donc, qu'ils voulaient que cela aille vite. "Moi, c'était viscéral. Ca a été compliqué à vivre", a-t-elle précisé.
Au bout d'un peu plus d'un an, ils ont commencé à s'inquiéter. Ils ont donc pris un rendez-vous chez le gynécologue et on leur a prescrit une batterie d'examens. "Il en est ressorti pour nous que c'était les spermatozoïdes de monsieur qui n'étaient pas de bonnes qualités (...) et qui ne permettait pas de faire un embryon de qualité", a-t-elle déclaré. Très vite, on leur a proposé d'avoir recours à une insémination artificiel ou à une FIV. Ils ont choisi cette dernière option, les chances de réussites étant plus élevées. Mais cela impliquait un traitement plus agressif, à savoir des piqûres, la ponction des follicules qui se fait sous anesthésie générale, puis le transfert embryonnaire. Fort heureusement, cela a fonctionné dès le premier essai. "Trois semaines après, le test était positif", s'est-elle réjouie.
Au vu de leur parcours, Megh chérit encore plus sa grossesse qui, fort heureusement, se passe bien.