Ce mardi 10 janvier, sur le plateau de Touche pas à mon poste, Cyril Hanouna et ses camarades débattaient sur ce sentiment d'insécurité qui ronge beaucoup de célébrités. "C'est à cause de la société qui est exacerbée, où tout sujet est épidermique et où toute prise de position qu'un Français sur deux ne va pas être d'accord avec vous", a notamment expliqué Valérie Bénaïm, avant que le père de Lino ne mentionne le fait que sa chroniqueuse a déjà vécu des "moments difficiles" à cause de sa notoriété.
"Oui, d'ailleurs je voudrais vous remercier car vous m'avez mis un garde du corps", lui a-t-elle répondu, avant de raconter sa propre expérience à ce sujet : "Il y a quelqu'un qui est venu ici pour s'en prendre à moi physiquement, qui a été interpellé par la BAC... Ça m'a énormément bouleversé. Parce que je m'y attendais absolument pas. Je pensais qu'on était dans une démocratie, une société, où l'on peut débattre, y compris de ne pas être d'accord. Mais je ne pensais pas que cela apporterait de la violence".
Il était érotomane
À noter que Matthieu Delormeau, Jean-Michel Maire ou encore Gilles Verdez, qui a porté plainte car il a été menacé par des gens qui ont ciblé et diffusé son adresse sur les réseaux, ont également témoigné de ces méfaits de la célébrité. Pour rappel, il y a quelques semaines et toujours sur le plateau de TPMP, Valérie Bénaïm expliquait avoir été confrontée à un fan "très angoissant" lorsqu'elle travaillait pour Fun Radio.
"On s'est rendu compte qu'il était érotomane, c'est-à-dire qu'il était persuadé que j'étais amoureuse de lui et que le monde entier empêchait notre union, notre amour. Je faisais des flashs infos à l'époque et il était persuadé qu'il y avait des mots codés dedans", avait-elle notamment précisé. Une situation difficile à gérer pour la journaliste, qui a dorénavant retrouvé un peu de sérénité, depuis qu'elle est donc accompagnée par un garde du corps.