Victime bien involontaire de sa célébrité, Valérie Trierweiler a été prise au piège par un "attroupement de curiosité" dans le quartier de Barbès à Paris. À tel point que l'ex-compagne de François Hollande a dû être exfiltrée par la police. Mais pas à sa demande. Une mise au point que la journaliste a faite sur les réseaux sociaux, tout en assurant qu'elle reviendrait...
Ce samedi 27 septembre, Valérie Trierweiler pensait faire tranquillement son marché dans le quartier populaire de Barbès. Mauvaise idée. L'ex-première dame a pu constater sa popularité auprès du grand public malgré les sondages assurant le contraire. Reconnue par une personne, puis deux, puis trois, Valérie Trierweiler s'est rapidement retrouvée entourée par la foule. Elle a raconté la suite au Parisien dans son édition du dimanche : "Un policier en civil qui était dans le coin m'a alors entraînée dans un magasin de tissus. À l'extérieur, les gens scandaient 'Valérie, Valérie !'. Le policier m'a dit : 'Vous ne pouvez plus sortir sans être piétinée'. Il a donc appelé des renforts et les policiers m'ont déposée à une station de taxi non loin."
Contrairement à ce que l'on pouvait lire dans certains médias et sur les réseaux sociaux, la journaliste de Paris Match revenue récemment d'un reportage à Madagascar pour le Secours Populaire n'a pas appelé la police pour l'exfiltrer. Une mise au point qu'elle a tenue à faire sur son compte Twitter ce lundi 29 septembre : "1/Mise au point. Non, je n'ai pas appelé la police. Non je n'ai pas été bousculée mais très bien accueillie. Pas de commissariat#chateaurouge." Et l'auteure de Merci pour ce moment, écoulé à 442 000 exemplaires, d'assurer dans un second message qu'elle reviendrait à Barbès : "2/oui je faisais volontairement mon marché (pas électoral) là-bas pour trouver du manioc et des bananes plantains. Oui, j'y retournerai !"
Une petite péripétie qui tranche avec les récents sondages qui semblent démontrer l'impopularité de Valérie Trierweiler depuis la sortie de son ouvrage Merci pour ce moment. Dans un sondage Odoxa pour Le Parisien publié ce dimanche 28 septembre, on découvrait que 69% des sondés avaient une mauvaise opinion d'elle et que 59% affirmaient qu'elle avait eu tort de publier son livre. Parmi les adjectifs qui revenaient le plus pour la décrire, on trouvait "ambitieuse", "impulsive", "autoritaire", "incontrôlable", "arrogante" ou encore "arriviste"...
Une situation à mille lieues de ce qu'a vécu Valérie Trierweiler, plus populaire que jamais, à Barbès...