Nouveau vent de panique sur Manhattan, à New York, le 10 juin. Un hélicoptère s'est écrasé sur le toit d'un immeuble provoquant un mouvement de panique et causant la mort du pilote. Sur Twitter, Valérie Trierweiler a pris la parole pour évoquer ce drame, car elle eu la peur de sa vie.
"À Manhattan, l'hélicoptère s'est écrasé sur l'immeuble dans lequel est situé le restaurant Le Bernardin dans lequel travaille mon fils @trierweiler3. Il a été évacué avec ses collègues et les clients. Je suis une mère soulagée qui pense au pilote et aux blessés. #newyork", a-t-elle commenté. On comprend le soulagement de la journaliste et ex-première dame, séparée de son fils Léonard Trierweiler (22 ans) par 5800 kilomètres. Valérie Trierweiler (54 ans) avait rendu visite à son fils, diplômé de l'école française de cuisine Ferrandi, à New York en mai dernier. Un court séjour effectué en compagnie de son amoureux Romain Magellan.
L'accident s'est déroulé non loin de Times Square et de la Trump Tower, sur une tour de bureaux située sur la 7e Avenue, entre les 51e et 52e rues, qui abrite notamment le siège américain de la banque française BNP Paribas, qui a été évacué. L'hélicoptère – un appareil privé de type Agusta A109E, selon l'Agence fédérale américaine de l'aviation (FAA) – avait décollé onze minutes plus tôt de l'héliport de la 34e rue.
Le maire de la ville Bill de Blasio a rapidement expliqué n'avoir pour l'instant "aucune indication" que l'hélicoptère, répertorié comme effectuant un vol d'affaires, avait reçu l'autorisation de décoller de la tour de contrôle de l'aéroport le plus proche, La Guardia, comme il était censé le faire. Certains médias ont affirmé qu'une interdiction de voler était en vigueur dans ce secteur à ce moment-là, en raison du manque de visibilité. L'appareil avait pris feu en atterrissant, ont précisé les pompiers.
Thomas Montet