Depuis son arrivée dans On n'est pas couché à la rentrée 2016, en remplacement de Léa Salamé, Vanessa Burggraf s'est écharpée avec quelques invités. En novembre dernier, elle avait tenu des propos rudes à l'égard de Françoise Hardy, venue présenter son livre Un cadeau du ciel, dans lequel elle revenait sur son combat contre la maladie. Puis, au mois de janvier, chahutée par Rama Yade, Vanessa Burggraf s'était énervée à l'antenne. Enfin, samedi 20 mai, son échange tendu avec Najat Vallaud-Belkacem a fait le tour de la Toile.
Autant d'accrochages qui lui ont a valu de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter. "C'est juste de la folie, il faudra un jour s'interroger sur ce média", a-t-elle estimé auprès de nos confrères de Télé Obs.
Et, dès la première émission, l'acolyte de Yann Moix a été "en situation de stress" : "Je fais de la tachychardie, là j'étais terriblement tendue, un mur de glace", se souvient-elle. Seulement, Vanessa Burggraf a commis une "grave erreur" à ses débuts, à savoir celle de "regarder l'émission jusqu'à deux heures du matin et Twitter en même temps".
Déjà qu'elle ne se trouvait "pas très bonne", Vanessa Burggraf a constaté, en suivant les réseaux sociaux, que "les autres ne [la] trouvaient pas non plus très bonne". Mais, certains commentaires sont allés bien trop loin puisqu'elle a même été insultée. "Je ne vous le cacherai pas : il y a eu des moments douloureux. Mais je n'ai pas lâché et je ne lâcherai jamais", a-t-elle confié.
J'ai aussi cessé de visionner les émissions
Et si elle a tenu le coup, c'est grâce à Laurent Ruquier, comme elle l'a raconté : "Laurent déteste les pleurnicheries, a-t-elle avoué. Un jour je l'ai appelé, je peux bien le dire, Léa (Salamé) a pleurniché elle aussi (rire). Bon, je n'ai pas vraiment pleurniché mais je me suis plainte : 'C'est dur, etc.' 'Pff, a répondu Laurent, continue comme ça, moi je n'ai pas de doutes, allez ciao.' Il n'y a pas eu de discussions de quatre plombes. Pas de psychothérapie. C'était : 'Tu y vas c'est tout et tu m'écoutes, moi.'"
Depuis, Vanessa Burggraf a fait le choix de s'éloigner un peu plus des réseaux sociaux en désactivant l'application Twitter de son téléphone, mais pas seulement. "J'ai aussi cessé de visionner les émissions, seulement des fragments d'interviews politiques, a-t-elle déclaré. La semaine dernière, j'ai enfin fait le travail de regarder toutes les émissions. Elles m'ont un peu rassurée. Les buzz, les polémiques, l'ont emporté et, sans vouloir jouer les Calimero, j'ai trouvé ça un peu injuste. Je me suis dit : 'Quand même sur certaines interviews politiques, tu t'es bien démerdée'."