La capitaine Mark Phillips, divorcé de la princesse Anne en 1992 après avoir eu un enfant d'une relation extraconjugale, ne risque pas de redorer son blason avec sa nouvelle frasque sentimentale : il quitte sa seconde épouse pour une cavalière de 35 ans, l'Américaine Lauren Hough (dans le Top 50 mondial), spécialiste du saut d'obstacles.
A 63 ans, le père de Peter et Zara Phillips, enfants nés de son mariage avec la fille de la reine Elizabeth II, s'apprête en effet à divorcer de Sandy Pflueger, 58 ans, cavalière américaine qu'il avait épousée le 1er février 1997 et avec qui il a eu une fille, Stephanie, aujourd'hui âgée de 14 ans. Pour pouvoir s'installer avec sa nouvelle conquête. Cavalière également, américaine également, mais beaucoup, beaucoup plus jeune. Et non seulement, Lauren Hough vient de fêter le 11 avril ses 35 ans, soit guère plus que sa fille Zara (30 ans le 15 mai 2012), mais il s'agit en plus d'une jeune femme que Zara connaît bien, inévitablement, puisque c'est une figure de premier plan du monde du cheval, comme elle - Lauren Hough a notamment été membre de l'équipe américaine d'équitation lors des Jeux olympiques de Sydney en 2000 et a remporté les Jeux panaméricains en 2003. Et les deux cavalières trentenaires pourraient même se croiser lors des JO de Londres 2012 si Zara Phillips est retenue dans l'équipe britannique, puisque Lauren Hough y sera présente en tant que coach des représentants américains dans la discipline, au côté... du capitaine Mark Phillips, chef d'équipe de la team américaine. Et ce, un après que Mark Phillips a assisté au mariage de Zara avec le rugbyman Mike Tindall en compagnie de son épouse Sandy Pflueger !
L'information de la séparation et de la procédure de divorce a été confirmée le 3 mai 2012 par les avocats de l'intéressé, du cabinet CKFT, par voie de communiqué : "Le capitaine et Mme Mark Phillips se séparent et la procédure de divorce est engagée. Le couple a une fille, Stephanie, âgée de 14 ans, et l'attention et le soutien qu'il lui doit sont la priorité du capitaine Phillips en cette période délicate. Raison pour laquelle il demande à ce que leur vie privée soit respectée dans les mois à venir." Le capitaine Mark Phillips, qui aurait fait part de la nouvelle à sa femme Sandy et sa fille Stephanie plus tôt cette année, a déjà quitté le domicile conjugal de Cherington, dans le Gloucestershire, et prévoit de s'installer avec Lauren en Floride. Il aurait déclaré : "Il se pourrait qu'il ne me reste que cinq ou dix ans à vivre, alors je veux être heureux."
L'histoire se répète...
L'histoire a une fâcheuse manière de se répéter, puisque c'est à chaque fois dans le monde de l'équitation que Mark Phillips, champion olympique à Munich en 1972 et médaillé d'argent à Séoul en 1986 en concours complet, a rencontré ses dulcinées, pour des histoires qui se sont mal terminées. Avec la princesse Anne, elle-même ancienne cavalière de haut niveau qu'il épousa en 1973, il vécut à Gatcombe Park une relation tumultueuse et cernée de rumeurs, qui dégénéra dans les années 1980 : en août 1985 naquit Felicity, une fille adultérine issue de la liaison de Mark Phillips avec Heather Tonkin, professeur d'art néo-zélandaise, dont la paternité, jamais reconnue par le capitaine, fut avérée par test ADN en 1991. Mark Phillips et la princesse Anne divorcèrent en 1992, année où la fille unique de la reine se remaria, avec l'amiral Timothy Laurence, son époux actuel.
Mark Phillips convola en secondes noces avec l'Hawaïenne Sandy Pflueger, spécialiste des épreuves de dressage qui faisait partie de l'équipe américaine lors des Jeux olympiques de Los Angeles en 1984 et, après leur mariage, l'assista au sein du staff.
Et c'est en entraînant l'équipe américaine, ce pour quoi il vit aux Etats-Unis plusieurs mois par an, qu'il a fait la connaissance de Lauren Hough, pas exempte de ressemblances avec Sandy Pflueger, remarque la presse anglaise. Selon des proches, le capitaine de 63 ans et la cavalière de 35 ans auraient confié à leurs partenaires de l'équipe américaine leur désir de vivre leur romance au grand jour. Nous y voilà.