Grâce à son immense talent, Valérie Lemercier a su séduire de nombreux cinéphiles à travers le monde avec ses projets sur petit ou grand écran. Passionnée par le 7ème art, l'actrice de 59 ans s'est aussi brillamment illustrée sur les planches. Ce samedi 18 novembre 2023, l'ancienne compagne d'Hervé Temime en pleine promotion de son nouveau film L'Arche de Noé a illuminé le plateau de Quelle époque ! sur la deux. De fil en aiguille au cours de son entrevue avec Léa Salamé, Valérie Lemercier a abordé avec pudeur sa vie privée.
Si la comédienne a la chance d'avoir une relation fusionnelle avec sa maman, elle semble entretenir un lien tout aussi fort avec "Carole", son "petit chat" qui partage son quotidien. Une image inédite de son compagnon à quatre pattes a d'ailleurs été dévoilée à l'antenne. "Elle est à la campagne là sur la photo", a avoué Valérie Lemercier qui a longtemps souffert de troubles du sommeil. "Elle est arrivée par hasard et je n'ai jamais eu d'animaux de ma vie... Cela faisait six ans que je prenais de bons gros somnifères et j'ai cessé". Sa présence à ses côtés l'a littéralement apaisée : "Cela m'a calmée".
"Elle peut me quitter..."
Une surprenante confidence qui a donné des idées à Léa Salamé : "Je vais prendre un chat alors". Ce à quoi son interlocutrice a répliqué : "Mais ça marche !". Au cours de sa tirade, Valérie Lemercier a également vanté les avantages d'avoir un animal chez soi. "C'est une grande surprise", a ajouté l'artiste. "Elle est évidemment très mignonne. Je suis contente, car elle n'aura jamais affaire à la police. Elle n'ira jamais à Fleury-Mérogis". Un discours qui a provoqué les rires autour d'elle.
"Mais pourquoi ?", s'est étonnée la compagne de Raphaël Glucksmann. "Mais parce que les chats ne vont jamais en prison", a glissé avec humour Valérie Lemercier. "Alors que si vous avez un enfant, ça peut arriver (...). Mais elle peut me quitter". Heureuse professionnellement, la réalisatrice n'a jamais connu les joies de la maternité. Un sujet qu'elle avait évoqué sans fard dans les colonnes de Paris Match en 2011. "Aujourd'hui, tout ça est derrière moi. Je n'ai aucun regret", avait indiqué celle qui aurait toutefois aimé tenter une fécondation in vitro (FIV) : "Maintenant, je me dis que j'aurais dû le faire. Mais quand c'était possible, je ne l'ai pas fait, voilà".