"C'est de la maltraitance !" : Christine Bravo, sa mère malmenée à la banque, elle explose de rage

Elle n'est pas du genre à se jeter dans les froufrous de sa mère... mais plutôt à la défendre, farouchement ! Alors quand quelqu'un lui manque de respect, Christine Bravo sort les griffes. Le mercredi 30 novembre 2022, la célèbre animatrice a pris la parole sur les réseaux sociaux pour dénoncer l'accueil déplorable qu'elle avait reçu en se rendant dans une banque située dans le sud de la France. Pour appuyer son propos, elle a partagé une vidéo de sa petite soeur Muriel qui raconte cette mésaventure survenue rue d'Antibes, dans la ville de Nice.

Sortie de deux mois d'hospitalisation, se déplaçant en fauteuil roulant, la maman de Christine Bravo a effectivement eu le droit à une drôle de mésaventure - qui n'a, hélas, rien de drôle. "La banque lui a refusé l'accès à ses comptes sous prétexte qu'elle est en fauteuil, explique l'épouse de Stéphane Bachot. Maman est cohérente, elle a clairement exprimé son souhait de virer son épargne sur son compte courant afin de rémunérer ses auxiliaires de vie à domicile. On maltraite décidément les personnes âgées dans tous les domaines. On marche vraiment sur la tête !"

Cet abus de pouvoir est insupportable

Face à ce refus, la soeur de Christine Bravo a quitté la banque... et s'est rendue à celle d'en face, concurrente, pour transférer tous les comptes de sa mère. "Je ne sais pas ce qui passe par la tête des directeurs de banques, ajoute-t-elle. Cet abus de pouvoir est insupportable. Pour moi c'est de la maltraitance." Décidément, Christine Bravo en a gros sur la patate en ce moment. Sa maman sort à peine de la clinique Oxford, où elle deait suivre une rééducation à la suite d'une cimentoplastie, et on ne peut pas dire que son séjour se soit déroulé de manière idyllique.

"Elle était devenue impotente, elle ne pesait plus que 31 kilos, dénonçait Christine Bravo. Elle faisait soi-disant des séances de kiné. Elle hurlait de douleur, appelait au secours, ne mangeait plus. Je la retrouvais dans son fauteuil, endormie, la tête sur sa tablette. Le personnel était vraiment gentil, dévoué. Le médecin référant à l'écoute. Mais infirmières en nombre très insuffisant. Elle marinait longtemps dans sa couche, pleurait sans discontinuer..." Tout va mieux, heureusement, excepté du côté de la banque...