Invité sur la chaîne Youtube de Rosa Bursztein, dans l'épisode 2 de l'émission L'1 dans l'Autre, Jarry s'est prêté au jeu en dévoilant quelques détails croustillants de sa vie intime. Toutes les deux semaines, la jeune femme invite une ou un artiste à commenter des extraits de films pour adultes et poursuit la conversation de manière décomplexée sur la sexualité. L'humoriste, acteur, metteur en scène, animateur et chroniqueur, qui prépare son nouveau spectacle pour l'année 2024, a ainsi été amené à évoquer les dimensions du sexe de ses partenaires.
On dit que ce n'est pas la taille qui compte. Il semblerait que ce critère soit tout de même crucial pour Jarry, tout bonnement apeuré par les micro-pénis. "Alors ça je vomis", a-t-il expliqué. "C'est une b*te d'enfant, comment tu peux être excité par ça, c'est pas possible ! Jamais de ma vie ça ne m'est arrivé. Jamais. Je pense que si c'était arrivé, j'aurais dit 'Écoute, on va oublier ce qui vient de se passer, et je vais te donner un bon chirurgien...'" Mais l'inverse, à savoir une verge immense, n'est pas non plus tout ce qu'il y a de plus optimal.
J'avais dit que je ne parlerais pas de moi !
"Je pense que quand t'as une énorme b*te... je pense que c'est handicapant", a-t-il poursuivi. "Je pense que si tu ne peux rien faire..." Face à la réaction de Rosa Bursztein, qui évoquait des pénis "énormissimes", l'acteur a finalement ajouté avec beaucoup d'humour : "Écoute, j'avais dit que je ne parlerais pas de moi !". Comprendra qui voudra. S'il évoque aujourd'hui sa sexualité de manière totalement libre Jarry - Anthony Lambert de son vrai nom - a longtemps eu beaucoup de mal à admettre qu'il était gay, comme il l'expliquait de manière très touchante en novembre dernier, à Frédéric Lopez dans Un Dimanche à la campagne.
"Beaucoup de gens me disent, à chaque fois qu'ils me rencontrent, 'Mais toi, tu es gay ?', et moi je réponds : 'Mais pas du tout !'. Jusqu'au jour où je rencontre un garçon et j'ai ma première expérience", se souvenait-il. "Là ça a été quelque chose d'extrêmement violent pour moi. Parce que je n'avais pas envie d'être homosexuel. Je n'avais pas envie d'être gay. La première chose, dans ma tête je me dis : 'Donc, je ne vais jamais être papa'". L'arrivée de ses jumeaux, qu'il surnomme Vic et Tim, aura finalement prouvé l'inverse...