"J'ai un peu peur" : Marie-José Perec de retour aux Antilles, sans avion ni 1ère classe... Un voyage à la dure et risqué !

Originaire des Antilles, Marie-José Pérec a marqué l'histoire de l'athlétisme français, en décrochant notamment des titres de championne du monde et de championne olympique. Alors que les Jeux Olympiques auront lieu à Paris dans seulement quelques mois, l'ancienne athlète sera l'une des porteuses de la flamme olympique, qu'elle va emmener sur ses terres natales. En effet, Marie-José Pérec se rendra prochainement aux Antilles pour y présenter la flamme olympique. Cependant, l'ancienne championne du monde de va pas rentrer chez elle en avion cette fois-ci. En effet, c'est en bateau qu'elle va traverser l'Atlantique. Concrètement, Marie-José Pérec va embarquer à bord du Maxi Banque Populaire XI, qui n'est autre que le trimaran géant du skipper Armel Le Cléac'h, lauréat de la dernière édition de la Transat Jacques Vabre.

L'ancienne championne olympique ne sera pas seule dans cette traversée, étant donné qu'elle sera accompagnée sur ce même bateau par Marine Lorphelin, ancienne Miss France et ambassadrice du relais de la flamme, Alexis Michalik, comédien ayant interprété le personnage d'Olivier de Kersauson dans le récent biopic consacré à Florence Arthaud, mais aussi Hugo Roellinger, chef doublement étoilé. Après un stage de survie, cet équipage embarquera pour sa première traversée de l'Atlantique à Brest le 7 juin 2024, avant d'arriver en Guadeloupe. Invitée de Bonjour !, la matinale de Bruce Toussaint sur TF1 ce mardi 9 avril 2024, Marie-José Pérec a révélé avoir "un peu peur quand même" au moment d'évoquer cette expérience : "C'est quelque chose qui va être quand même assez dur. De tout ce que j'ai entendu, il parait que c'est très compliqué de traverser l'Atlantique", a tout d'abord déclaré l'ancienne athlète.

Le voyage de Marie-José Pérec entre Brest et la Guadeloupe devrait prendre huit jours : "Il nous a promis d'aller doucement", a plaisanté l'ancienne championne du olympique en parlant d'Armel Le Cléac'h. "Moi j'aime aller vite, mais là je veux que ce soit quand même calme. Sincèrement, j'aimerais une mer d'huile, mais il parait que sur cette partie-là c'est pas possible", a également ajouté l'ancienne athlète, avant de finalement conclure : "Je pense que ça va être quelque chose de magique". C'est tout ce que l'on souhaite au groupe !