Il a rejoint la bande en 2019. Djamel Bentenah est acheteur dans Affaire conclue, sur France 2. Et lors de son arrivée dans l'émission présentée par Sophie Davant, il avait fait des révélations sur une ancienne addiction qui lui a coûté cher.
Avant d'être antiquaire-brocanteur, l'époux de Séverine a eu mille vies. Il a tout d'abord fait une école de chaudronnier comme il l'a confié à Femme Actuelle. Mais cela ne lui a pas plus. Alors, après une journée, il a quitté la formation pour se tourner vers l'animation. Il encadrait des classes de neige et des classes verte. Mais à l'âge de 18 ans, il a tout quitté pour l'armée. "Je suis parti en commando à Colmar, au 152e régiment d'infanterie. En rentrant de l'armée, j'ai travaillé dans le prêt-à-porter. Mon dernier emploi c'était chez Daniel Hechter. Quand je l'ai quitté, j'ai ouvert mon premier magasin de vêtements à Colombes. C'est un métier qui me plaisait énormément, dans lequel j'ai bien gagné ma vie. Mon magasin tournait vraiment très bien, donc j'en avais pris un deuxième. J'ai fait énormément de travaux, et j'ai perdu deux millions de francs quand la guerre du Golfe a démarré. Je me suis retrouvé sans boulot, j'ai tout perdu", a précisé Djamel Bentenah.
Il faut faire attention
Après avoir trouvé des boulots à droite à gauche, il s'est finalement tourné vers l'antiquité après avoir fait une rencontre déterminante lors d'une soirée. Depuis, il a ses magasins au marché aux puces de Saint-Ouen et collabore avec sa femme pour les faire tourner. "Je viens d'en acheter un troisième, mais avec tout ce qu'il se passe je ne sais pas si je vais pouvoir le garder", précisait-il à l'époque. C'est une chasseuse de tête, qui est passée aux Puces, qui l'a repéré car ils cherchaient une personne pour Affaire conclue. "Elle a aimé mon look, ma façon d'être. Elle m'a posé des questions, elle m'a filmé, m'a pris en photo pour proposer ma candidature. On a ensuite voulu me rencontrer. Mais je n'ai pas accepté tout de suite, j'en ai parlé à ma femme avant. Au début, je n'étais pas très confiant. Je n'étais pas sûr d'être capable, d'être à la hauteur de l'émission. Ils ont insisté, alors j'ai fait un essai. Maintenant je suis tranquille, j'y vais en sifflant !", déclarait-il.
Mais chiner n'est pas la seule passion de Djamel Bentenah. Il a avoué être un "grand turfiste dans l'âme". "J'ai fait mon premier ticket à 12 ans. Mon père m'envoyait au PMU, et comme on me connaissait là-bas, on me laissait jouer. C'est comme ça que ça a commencé. Pour en faire une passion, il faut faire attention et bien sûr en avoir les moyens. Je n'ose même pas vous dire combien je jouais par jour à une certaine époque. Heureusement que j'ai levé le pied, sinon je n'aurais jamais pu avoir tout ce que j'ai aujourd'hui", a-t-il conclu.