Ne parlez plus de Nicolas Waldorf à Loana ! La première gagnante du Loft n'est pas près de batifoler dans une piscine avec le coiffeur d'M6. Il y a quelques mois, Loana a laissé l'équipe de l'émission Incroyables Transformations la relooker. Un bon moyen de prendre un nouveau départ pour celle qui était retombée dans ses travers. C'est donc pleine d'entrain que l'ex-Lofteuse s'est prêtée au jeu. Mais elle a vite déchanté : "Ils m'ont ruinée ! J'en ai pleuré toute la nuit. Une coiffeuse m'avait offert 2 000 euros d'extensions, j'avais les cheveux jusqu'en bas des fesses, blonds comme j'aime. (...) Je leur ai dit qu'ils pouvaient toucher à tout sauf mes cheveux. On me l'avait promis." Promesse non tenue.
La colère de Loana n'est pas passée inaperçue auprès des téléspectateurs et de Nicolas Waldorf, responsable de la catastrophe capillaire qu'elle a pointée du doigt. Le principal intéressé s'était d'ailleurs exprimé sur le sujet, ne comprenant pas un tel coup de gueule et évoquant même une possible consommation suspecte de Loana avant le tournage : "Quand elle est arrivée, elle était à moitié dans les nuages. Elle planait. Je pense qu'elle ne voulait pas vraiment changer."
Cette version, Loana la nie en bloc et révèle une intense fatigue pendant le tournage : "Ça me choque beaucoup. Quand je suis arrivée, j'étais super en forme. Ça a commencé à 8h du matin, c'est sûr que je n'étais pas fraîche le matin. Et ça a terminé à 22h, a-t-elle déclaré à Voici.fr. Donc je ne planais pas sauf quand je fermais les yeux quand on me maquillait et me coiffait pour récupérer les heures de sommeil. J'étais juste un peu fatiguée parce que je m'étais réveillée à 7h."
Les téléspectateurs n'auront pas l'occasion de découvrir cet épisode enflammé qui promettait déjà de belles audiences à M6. Après le tournage et la colère de Loana, la chaîne a pris la décision de ne pas diffuser l'épisode : "C'était douloureux pour moi parce que j'ai travaillé comme un fou pendant des heures. C'était très compliqué à faire. Je trouve qu'on a très bien fait notre travail." Parole contre parole.