Antoine de Caunes aime Paris. C'est là qu'il vit la plupart du temps et il y a possède plusieurs biens apparemment. Pour le podcast de M le Monde, il avait ouvert les portes d'un ses appartements très bien situé.
Direction une rue qui se trouve entre l'Opéra et les Tuileries et un petit immeuble "entre deux boutiques" situé 5e étage sans ascenseur. C'est là que l'animateur de 70 ans a reçu la journaliste. Il ne s'agissait visiblement pas de l'appartement où il vit mais de celui dans lequel il travail. Pour être tranquille, Antoine de Caunes a en effet décidé de posséder un lieu dédié à sa réflexion. "Nous sommes dans mon bureau, un grand bureau. J'ai besoin beaucoup d'espace, je travaille seul mais aussi en groupe", raconte-t-il. Dans cet appartement figurent deux bibliothèques, une qui contient des ouvrages de littérature pure et une autre qui a un rapport étroit avec la musique, la BD...
Si on ne sait pas combien de mètres carrés fait cet antre, on apprend en revanche que celui-ci est tout en longueur, traversant. "Ca donne sur une cour d'un côté et sur une petite rue de l'autre. Ca donne sur la rue Saint-Roch et l'église Saint-Roch, avec cette grande horloge bleue qui donne une vision poétique, l'impression d'être à Rome", déclare-t-il au podcast.
Dans le salon, on peut trouver une table ovale en marbre, des livres, des figurines Pixi (sa passion). Et dans l'espace bureau de cet appartement qu'il lui sert à travailler, il y a un petit canapé et là encore des livres partout.
Si Antoine de Caunes adore son quartier, le premier arrondissement de Paris, il est aussi fou de la Normandie. Pour Le Monde, le mari de Daphné Roulier était aussi revenu longuement sur l'importance de Trouville dans sa vie : "C'est un lieu fondamental. J'ai commencé à y aller, je devais avoir 3 ans et j'y retournais tous les étés dans la même maison. La mer, la lumière de toute la baie de Seine... C'est un endroit assez unique. Chaque fois que j'y retourne j'ai le même genre d'émotions. Quand vous vous promenez en fin d'après-midi sur la plage à l'automne, le temps est aboli."