Abbey Clancy, confessions de maman : "C'est un cauchemar, c'est si difficile"

Abbey Clancy est sans doute la plus connue des Wags, ces femmes de footballeur que l'on retrouve sur le devant de la scène et dont la Grande-Bretagne regorge. Quelques jours après avoir franchi le cap de la trentaine, la sublime blonde a répondu aux questions du magazine Hello!, Où l'on découvre une Abbey Clancy en maman épanouie qui connaît de plus en plus de difficultés à se remettre de ses nuits arrosées.

C'est un cauchemar, c'est si difficile

"J'ai l'impression d'avoir fait pas mal de choses dans ma vie -j'ai deux enfants, je suis mariée, je suis plutôt fière. Je me sens heureuse, bien et en bonne santé", confie-t-elle en préambule à Hello!. Pourtant, depuis la naissance de la petite Liberty en juin 2015, les nuits sont plus que difficiles pour le mannequin à la silhouette de rêve. Car la petite soeur de Sophia (4 ans) ne dort pas la nuit. "Elle se réveille toutes les heures, raconte-t-elle. Depuis huit mois. C'est un cauchemar, c'est si difficile. Elle ne pleure pas - je ne pense pas que je pourrais tenir si c'était un bébé qui pleurait - mais elle veut juste être debout et réveillée. Ça laisse des traces, mais Sophia a 4 ans maintenant et elle dort incroyablement bien, donc ces nuits sans sommeil ne durent qu'un court moment. Et c'est une période précieuse - bien que l'on s'en plaigne, c'est incroyable. J'adore ça et je ne voudrais rien changer."

Malgré le manque de sommeil, Abbey Clancy a très vite retrouvé la ligne, affichant ses formes qui ont fait d'elle une légende de la lingerie outre-Manche. En janvier, elle apparaissait en maillot de bain sur une plage de Dubaï avec ses deux fillettes. Et si elle reconnaît être "revenue rapidement à la normale", elle le doit en partie au patrimoine génétique de sa famille, où tout le monde est mince. Mais pas que. L'exercice était bien évidemment de la partie, mais ne doit pas être le seul levier : "Vous ne devriez pas faire du sport juste pour vous sentir maigre ou mince. Cela vous donne un état d'esprit sain. Ça nettoie votre esprit et vous rend plus fort ; ce n'est pas juste perdre du poids pour moi."

Avec un emploi du temps chargé et des journées à rallonge, Abbey Clancy n'a pourtant pas de nounou. Sa mère, que l'on pourrait croire mannequin elle aussi, est très présente et Peter Crouch, son époux, s'occupe des biberons la nuit. Un mari footballeur du côté de Stoke City qui s'implique énormément, comme au lendemain de l'anniversaire de la miss, une longue nuit au Rah Rah Room de Londres. "Mon mari a été si bon le lendemain de ma soirée d'anniversaire pour mes 30 ans. Les filles étaient réveillées à 7h et il était debout, dans la piscine avec elles, et il leur a donné le petit-déjeuner pendant que je mourais dans mon lit. C'était génial", raconte-elle à Hello!.

Et malgré ses réveils difficiles, la belle blonde est prête à agrandir la famille. Si "ce n'était la grossesse", c'est une dizaine d'enfants qu'elle aurait autour d'elle... "Mais je suis tellement malade durant les neuf mois. Si malade. Vomissements, nausées, maux de tête... Je dois manger pour ne pas me sentir mal. Les naissances sont faciles pour moi. Je peux le faire. C'est juste la grossesse. Je ne pouvais même pas regarder Sophia quand j'étais enceinte de Liberty tellement j'étais malade. J'étais alitée. C'était horrible", révèle Abbey Clancy, qui avait déjà raconté les affres de la grossesse. Quant au futur bébé, elle aimerait bien un garçon... "Mais je crois que Peter aurait une crise cardiaque si nous avions à nouveau une fille."

Abbey Clancy, à retrouver dans le magazine Hello ! du 22 février 2016