C'est la nouvelle affaire qui secoue le milieu de la télé-réalité. Ce mardi 16 novembre 2021, l'ancienne star Alix Desmoineaux a accordé une interview à Melty, dans laquelle elle accuse un autre candidat d'agression sexuelle sur une mineure. Sans citer de nom, la jeune femme de 28 ans assure qu'il existe même une vidéo l'incriminant et qu'elle l'a vue. Rapidement, les informations de l'ex de Benjamin Samat ont fait l'effet d'une bombe et c'est toute la sphère médiatique qui s'est emparée du sujet. Certains blogueurs comme Marc Blata et Nabil sont venus confirmer ses dires, quand d'autres vedettes du petit écran ont avoué avoir eux aussi eu vent de cette histoire dans le passé.
Face à la polémique qui enfle, Alix a été invitée à se livrer sur le plateau de Touche pas à mon poste mardi soir. Et c'est avec beaucoup d'émotion qu'elle a encore une fois dénoncé le candidat en question, s'insurgeant du fait qu'il n'aurait jamais été sanctionné par les producteurs des émissions. Au moment de revenir sur les images choquantes de la vidéo, la jeune femme au passé difficile a également peiné à retenir ses larmes. "On attrape la jeune fille par les cheveux elle ne veut pas, elle dit non, on essaye de lui demander des faveurs, elle refuse, elle pleure...", explique-t-elle bouleversée. "On vous sent très émue", note alors Cyril Hanouna.
Et pour Alix d'ajouter : "Je ne connais pas la personne, mais quand je vois un truc comme ça... Je pense que n'importe qui voit la vidéo, vous ne pouvez pas rester sans rien faire. Elle hurle, il y a du son, ça dure 1min30, elle pleure, elle supplie, moi je suis désolée mais non ça veut dire non."
En s'exposant ainsi pour faire éclater la vérité, Alix Desmoineaux en subit les conséquences et se retrouve menacée. "J'ai reçu des menaces écrites mais ça tombe bien on a un truc super aujourd'hui qui s'appelle screenshot. On me menace de me faire fermer ma gueule, ce sont des documents que je donnerai à la police", a-t-elle annoncé. En effet, Alix espère désormais qu'une enquête sera ouverte et que les autorités pourront mettre la main sur cette fameuse vidéo qui, pour l'heure, constitue la seule preuve contre le candidat suspecté d'agression.