Alexandra Lamy et Jean Dujardin lors de l'avant-première d'Un bonheur n'arrive jamais seul le 15 juin 2012© Abaca
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C'est son tour désormais. Alexandra Lamy a accompagné avec un enthousiasme débordant le succès de The Artist, dans lequel joue son mari Jean Dujardin. L'Oscar, Hollywood, George Clooney... Une aventure unique qui l'a néanmoins mise au second plan. Malgré deux films, Possessions et L'Oncle Charles, l'attention médiatique a du mal à se détourner de Jean Dujardin. Les mois ont passé et aujourd'hui, en héroïne du drame intime de Sandrine Bonnaire, J'enrage de son absence, Alexandra Lamy se retrouve au premier plan. L'occasion de clarifier certaines choses dans les pages de Mes dimanches, le supplément mensuel du Journal du dimanche.
Alexandra Lamy en est ravie et le clame haut et fort : elle sera au bras de Jean Dujardin lors des Oscars 2013 lorsqu'il remettra un prix après avoir reçu celui du meilleur acteur pour The Artist. Cependant, il n'y a pas qu'Hollywood dans sa vie et elle tient bien à maintenir sa vie de famille recomposée, formée de son mari Jean, de sa fille et des deux garçons de son homme. Elle s'accorde toujours son week-end, sans quoi elle deviendrait folle, et s'organise du mieux qu'elle le peut : "Il faut se dire que les problèmes d'organisation regardent les adultes, pas les enfants. Eux s'adaptent à tout. [...] On fait en sorte d'avoir tous les enfants en même temps. Ils se connaissent depuis longtemps, ils sont comme frères et soeur. La maman de Simon et Jules [les deux fils de Jean] a été super, le papa de ma fille aussi... Tout le monde a voulu protéger les enfants."
Une implication et un dévouement qui n'empêchent pas des changements dans le quotidien des "Dujarmy" : "C'est la rançon de la gloire, dit-on, mais on a le droit parfois d'être tranquilles. Nos enfants ne se baladent plus le dimanche avec nous, car ils finissent par tenir l'appareil photo. [...] Ce sont des problèmes de riches, tout ça, mais je comprends qu'une femme comme Diam's dise que cette vie ne lui correspond plus, parce que ça ne s'arrête jamais... Mon but n'a jamais été d'être connue, je voulais faire du théâtre, jouer à la Comédie-Française."
Voilà treize ans qu'elle a joué dans Un gars/Une fille mais cette étiquette de fille sympathique lui colle toujours à la peau. Pourtant, avec des rôles dans Ricky de François Ozon et plus encore dans J'enrage de son absence, elle prouve l'étendue de sa palette d'actrice. Elle s'impose contre les mauvaises langues qui ne voient en elle que "la femme de" : "Je ne trouve pas ça sympathique." Enfin et comme toujours, l'actrice qui travaille au scénario d'un film historique, Les Camisards, répète qu'elle reste toujours attachée à la France : "Jean ne va pas refuser un Martin Scorsese [The Wolf of Wall Street] et un George Clooney [Monuments Men]. Mais après, il continuera à monter ses projets en France. Le rêve américain, c'est bien, mais nous continuerons d'avoir notre rêve français."
"J'enrage de son absence", en salles depuis le 31 octobre
Alexandra Lamy en est ravie et le clame haut et fort : elle sera au bras de Jean Dujardin lors des Oscars 2013 lorsqu'il remettra un prix après avoir reçu celui du meilleur acteur pour The Artist. Cependant, il n'y a pas qu'Hollywood dans sa vie et elle tient bien à maintenir sa vie de famille recomposée, formée de son mari Jean, de sa fille et des deux garçons de son homme. Elle s'accorde toujours son week-end, sans quoi elle deviendrait folle, et s'organise du mieux qu'elle le peut : "Il faut se dire que les problèmes d'organisation regardent les adultes, pas les enfants. Eux s'adaptent à tout. [...] On fait en sorte d'avoir tous les enfants en même temps. Ils se connaissent depuis longtemps, ils sont comme frères et soeur. La maman de Simon et Jules [les deux fils de Jean] a été super, le papa de ma fille aussi... Tout le monde a voulu protéger les enfants."
Une implication et un dévouement qui n'empêchent pas des changements dans le quotidien des "Dujarmy" : "C'est la rançon de la gloire, dit-on, mais on a le droit parfois d'être tranquilles. Nos enfants ne se baladent plus le dimanche avec nous, car ils finissent par tenir l'appareil photo. [...] Ce sont des problèmes de riches, tout ça, mais je comprends qu'une femme comme Diam's dise que cette vie ne lui correspond plus, parce que ça ne s'arrête jamais... Mon but n'a jamais été d'être connue, je voulais faire du théâtre, jouer à la Comédie-Française."
Voilà treize ans qu'elle a joué dans Un gars/Une fille mais cette étiquette de fille sympathique lui colle toujours à la peau. Pourtant, avec des rôles dans Ricky de François Ozon et plus encore dans J'enrage de son absence, elle prouve l'étendue de sa palette d'actrice. Elle s'impose contre les mauvaises langues qui ne voient en elle que "la femme de" : "Je ne trouve pas ça sympathique." Enfin et comme toujours, l'actrice qui travaille au scénario d'un film historique, Les Camisards, répète qu'elle reste toujours attachée à la France : "Jean ne va pas refuser un Martin Scorsese [The Wolf of Wall Street] et un George Clooney [Monuments Men]. Mais après, il continuera à monter ses projets en France. Le rêve américain, c'est bien, mais nous continuerons d'avoir notre rêve français."
"J'enrage de son absence", en salles depuis le 31 octobre