L'heure du bilan a sonné pour Amandine Petit. Il y a bientôt un an, la jolie blonde originaire de Normandie a été sacrée Miss France 2021. Elle devra donc naturellement remettre sa couronne à l'une des 29 nouvelles prétendantes au titre pour lui succéder lors de la cérémonie attendue le 11 décembre prochain dans sa ville de Caen. En attendant, Amandine Petit est invitée à faire la tournée des médias pour faire le point sur les plus beaux souvenirs de son année de reine de beauté mais aussi sur les moins bons. L'occasion de se rappeler que son règne a justement commencé avec une polémique !
Souvenez-vous, dès le lendemain de sa victoire, Amandine Petit a dû publiquement réagir aux attaques antisémites dont a été victime tout au long de la soirée sa première dauphine April Benayoum. Un sujet complexe pour la jeune femme de 24 ans qui a alors été aidée par la comité Miss France pour livrer ses première déclarations. "Je m'en souviendrai longtemps : ma première interview télévisée, en direct sur BFMTV. Le comité me prévient qu'une polémique a éclaté autour de tweets antisémites adressés à April Benayoum et que je vais devoir y répondre. Une controverse de cette envergure dès le premier jour, après une courte nuit de sommeil, ce n'est pas simple à gérer. En un an, le comité ne m'a jamais donné de texte à réciter, mais cette fois-là, on m'a transmis des éléments de langage, car, soyons honnêtes, j'étais un oiseau tombé du ciel...", a avoué Amandine Petit lors d'une interview pour Télé Loisirs parue ce lundi 29 novembre 2021.
April Benayoum avait elle aussi été amenée à prendre la parole à plusieurs reprises. La candidate à Miss Monde aux origines israélo-italiennes s'était également empressée de porter plainte et, après enquête, ce sont huit internautes qui avaient été interpellés par les forces de l'ordre, âgés entre 20 et 58 ans. Finalement, à l'issue du procès qui a eu lieu le 22 septembre dernier, sept personnes ont finalement été condamnées à payer des amendes de 300 à 800 euros.