Fin août, la presse américaine annonçait que Johnny Depp et Amber Heard s'étaient accordés sur leur séparation, après deux mois de bagarre par avocats interposés. Il était notamment convenu qu'Amber Heard, en plus de retirer ses accusations infondées de violences conjugales, devait donner les 7 millions de gain à des associations caritatives. Mais à l'heure où l'actrice de 30 ans vient tout juste de parler publiquement pour la première fois, évoquant d'ailleurs la violence conjugale à la première personne, les observateurs se demandent ce qu'il est advenu de ces 7 millions de billets verts.
Dans un communiqué officiel publié par People, on apprend que le divorce entre les deux stars n'a toujours pas été acté. "Les documents de l'accord sont en train d'être finalisés et seront signés cette semaine", annonce ce communiqué signé par l'avocat d'Amber, Pierce O'Donnell. Quant aux 7 millions, la situation est floue. Selon l'accord, Amber Heard devait toucher cette somme et la reverser à ses deux associations préférées, l'American Civil Liberties Union, qui se bat contre notamment contre les violences faites aux femmes, et le Children's Hospital Los Angeles, où elle a été volontaire pendant dix ans. Une attachée de presse de l'ACLU avait confirmé un cadeau de 350 000 dollars fait par Heard le 19 août. Mais depuis, rien. Selon l'avocat d'Amber Heard, le reste du don sera fait une fois que le divorce sera finalisé et l'accord définitivement signé.
People révèle ensuite que le clan de Johnny Depp voulait verser lui-même directement l'argent aux deux associations. Un désaccord qui n'a pas lieu d'être selon O'Donnell. "Johnny est obligé par l'accord de payer Amber, et elle, en retour, honorera ses dons au Children's Hospital et à l'American Civil Liberties Union", affirme l'avocat de la comédienne, précisant que "La protection des victimes de violences conjugales et l'aide aux enfants malades est le travail de sa vie".
Enfin, l'avocat a également rebondi sur le spot que sa cliente a fait pour le #GirlGazeProject et dans lequel elle parle, à la première personne, de violences. "Son récent message d'intérêt public sur la violence conjugale ne viole pas son accord avec Johnny. Elle continuera à prêter sa voix au choeur de femmes parlant publiquement de ce terrible fléau", précise le conseiller.